On prend notre mal en patience, on s’adapte du mieux qu’on peut. La distanciation sociale devient norme. Mon problème, c’est que je fais aussi de la distanciation sociale mentale. J’ai restreint bien involontairement mes échanges au minimum. Si ce n’était de ma sauterelle qui me sille les oreilles avec son impatience d’aller acheter une nouvelle paire d’espadrilles, et ma saucisse qui m’implore d’aller chercher des bâtons deux fois par jours, je vivrais en ermite. Je travaille toujours autant, et toujours de la maison. Je passe huit heures devant mon écran, et le soir, je ferme tout. Ce qui signifie silence radio blogue, silence radio Instagram. Par moment, ça me manque, je me dis qu’un retour s’impose; d’autres jours, je me dis que ma disparition est imminente. De voir à quel point vous êtes toujours autant au poste m’impressionne. C’est quoi, votre recette?
Il n’y aura pas de challenge Mai en nouvelles cette année. Les conditions ne sont pas réunies. Electra et moi prévoyons de mettre les bouchées doubles l’an prochain.
Mes lectures ont été pour le moins éclectiques, ce mois-ci. Entre Louise Erdrich et Épictète...! Je gruge dans ma PAL. Entre deux chapitres, je retourne à mon puzzle!
Il n’y aura pas de challenge Mai en nouvelles cette année. Les conditions ne sont pas réunies. Electra et moi prévoyons de mettre les bouchées doubles l’an prochain.
Mes lectures ont été pour le moins éclectiques, ce mois-ci. Entre Louise Erdrich et Épictète...! Je gruge dans ma PAL. Entre deux chapitres, je retourne à mon puzzle!