Auteur : Freida McFadden
Titre : La femme de ménage
Date de parution : 4 janvier 2023 – City Edition
EAN : 9782824621456 – 368 pages
Freida McFadden, auteure à succès n°1 sur Amazon, est une médecin praticienne spécialisée dans les lésions cérébrales qui a écrit plusieurs thrillers psychologiques et romans d’humour médical à succès sur Kindle. Elle vit avec sa famille et son chat noir dans une maison centenaire à trois étages surplombant l’océan, avec des escaliers qui grincent et gémissent à chaque pas, et personne ne peut vous entendre si vous criez. À moins que tu cries très fort, peut-être.
4eme de couverture :
Chaque jour, Millie fait le ménage dans la belle maison des Winchester, une riche famille new-yorkaise. Elle récupère aussi leur fille à l’école et prépare les repas avant d’aller se coucher dans sa chambre, au grenier. Pour la jeune femme, ce nouveau travail est une chance inespérée. L’occasion de repartir de zéro. Mais, sous des dehors respectables, sa patronne se montre de plus en plus instable et toxique. Et puis il y a aussi cette rumeur dérangeante qui court dans le quartier : madame Winchester aurait tenté de noyer sa fille il y a quelques années. Heureusement, le gentil et séduisant monsieur Winchester est là pour rendre la situation supportable. Mais le danger se tapit parfois sous des apparences trompeuses. Et lorsque Millie découvre que la porte de sa chambre mansardée ne ferme que de l’extérieur, il est peut-être déjà trop tard…
Addictif et machiavélique : le phénomène mondial qui a conquis des millions de lecteurs. Mon résumé : Millie dors dans sa voiture depuis un mois. Elle commence a en avoir marre. Elle ne decide qu’une chose, c’est decrocher un job. Job dans dans fast-food ou un job de femme de menage, gouvernant. Peu importe, elle ne peu pas se nourrir indefiniment de sandwichs et de produits a prendre sur le pouce. Mais voila, millie sort de 10 ans de prison et ce n’est pas ce qui va l’aider a trouver un nouveau travail. Aussi lorsque Madame Winchester accepte de l’engager comme femme de menage dans sa maison, elle n’en reviens pas. Elle pense vraiment a une blague. Apres tout madame Winchester a l’aide plutot ouverte et sens que le courant passe, qu’elle peux s’entendre avec elle. Oui mais si ce n’etait qu »une vitrine pour mieux se casser la figure. Apres tout on ne connais jamais entierement les personnes que l’on cottois, et elles pourraient cacher des choses auquelles on s’attends le moins.Si je quitte cette maison, ce sera menottes aux poignets. J’aurais dû m’enfuir quand j’en ai eu l’occasion. À présent, ma chance est passée. Maintenant que les policiers sont dans la maison et qu’ils ont découvert ce qu’il y a en haut, il n’y a plus de retour en arrière possible. […]Dans le premier tiers du roman, j’ai pu me faire une idée assez precise de Madame Winchester. Pour faire une comparaison et pour ceux qu’ils l’on lu, j’ai eu l’impression de voir la megere qu officie dans » un bon petit diable » de la comtesse de segur. Le gens de femme accariatre, mechante et pres a tout pour rendre la vie difficile à ceux à qui elle a affaire. Et puis il y a M.Winchester qui est tout le contraire. Le mari gentil, attentionné, qui ne peut que valider les propos de sa femme meme si il sais au fond de lui que ce n’est pas vrai. Bon avec tout ca je pense vous avoir poser le tableau, vous n’avez plus que vous morfondre sur l’eventuel avenir de la femme de menage au sein de cette demeure…. Mon avis : Je crois que contrairement aux avis que j’ai vu sur la toile, ce titre restera dans mon TOP de l’année 2023. Il tiens tellement en haleine, qu’il reste difficile de le lacher, avant l’issu finale, mais aussi avant de comprendre ce à quoi on a affaire. Si je dois conclure, je vous dirais que parfois les apparences sont trompeuses, vaut mieux eviter de se faire une idée sans avoir tout les tenants et aboutissants.
– Eh, Connors !
C’est la voix d’un autre policier. Le contact visuel est rompu, je lève les yeux vers le sommet de l’escalier. L’autre flic, beaucoup plus jeune, se tient là-haut, ses longues mains agrippés à la rampe. Son visage lisse est blême.
– Connors, répète le plus jeune. Faut que tu montes ici… maintenant. Faut que tu vois ça. (Même d’en bas, je vois bouger sa pomme d’Adam.) Tu ne vas pas le croire.