Clap de fin pour notre gang de chauffeurs. J’ai adoré tous les tomes, même si mes chouchous restent Rafaël et Donovan ! Ce dernier tome est, comme le reste de la série, une bulle de bonne humeur. Je me suis beaucoup amusée de la guigne de Luke et du côté « particulier » de Tory.
Et si vous conjuriez le sort ?
De quoi ça parle : La chance a toujours souri à Luke Winchester. Étudiant brillant, recruté chez les Campus Drivers de Miami, et membre vénéré de l’équipe de baseball universitaire, il vit un rêve éveillé. Mais, alors que le championnat annuel approche, son quotidien vire au cauchemar. Celui que tout le monde surnomme Lucky Luke est désormais poursuivi par une poisse légendaire. À se demander si on ne lui a pas jeté un sort. Pour se tirer d’affaire et sauver sa saison, il ne voit qu’une possibilité : Tory Garland. Spécialiste de philtres et remèdes miracles en tout genre, les cartes de Tory ne lui avaient pas prédit l’engouement qu’elle provoque chez les étudiants depuis quelques mois. Il semblerait qu’elle porte chance à ceux qui l’entourent, en témoignent ses derniers petits amis, qui ont tous connu une ascension fulgurante. S’il n’a jamais été superstitieux, Luke Winchester risque de vite le devenir. Il pourrait même apprendre qu’on ne se frotte pas à une sorcière des temps modernes sans conséquences inattendues.
Ce que j’ai aimé… ou pas … : Faites rencontrer un agnostique et une sorcière des temps modernes, installez-vous confortablement et comptez les points ! Alors que dire 1) Luke Winchester, étudiant en troisième année d’ingénierie informatique, est chauffeur pour les Campus Drivers et pitchers de l’équipe des Golden Panthers. D’ailleurs, il est sans doute l’un des rares joueurs de baseball à ne pas être superstitieux, même s’il a un petit rituel avant de lancer la balle. Celui qui a connu une période de chance voit la guigne devenir sa meilleure amie. Pire qu’un chewing-gum collé à sa basket, la poisse le suit partout : dans sa voiture, dans les vestiaires, sur le terrain… et cela commence à avoir des répercussions sur ses courses de Campus Drivers et ses coéquipiers. Heureusement, l’un d’eux lui souffle le nom de “Victory” pour tenter de limiter la casse. Néanmoins, pas sûr que son scepticisme éloigne les mauvaises ondes … 2) Tory Garland beigne dans l’ésotérisme et la spiritualité avec les femmes de sa famille. D’ailleurs, sa grand-mère (je l’ai adoré !) et sa mère participent grandement à l’alimentation de sa boutique en ligne. Cependant, en ce moment, elle doit sa renommée aux sportifs, qui la surnomme “Victory”. En effet, ces derniers lui prêtent la réputation de porter chance à tous ceux qui la fréquentent. Cette Franco-Américaine aime sa solitude, raffole des raviolis chinois, à un chat antipathique (on a le chat qu’on mérite) et est copine avec Juliet. D’ailleurs, c’est pour elle qu’elle accepte de rencontrer Luke, ce type trop lisse, top gentil. Cependant, elle va vite découvrir qu’il est aussi persévérant. Si elle est d’accord pour l’aider, elle compte bien en profiter pour tester quelques recettes dont elle-seule connaît les ingrédients
Avis : Vous savez, j’adore le trope “Fake Dating” et je me suis régalée avec ces deux opposés qui ne sont absolument pas attirés l’un par l’autre. Ici, pas de coup de foudre aux premiers regards. Les sentiments s’installent au fil des rencontres, des moments partagés
@ très vite entre deux chapitres