📌 J'ai aimé que la relation prenne son temps et que les sentiments amoureux ne coulent pas de source. De plus, l'héroïne est pétrie d'insécurité et fait preuve de bon sens quant à son avenir et sa famille.
📌 Certes, son époux se la joue comme Mr. Darcy. Il est froid. Ne montre rien de ses émotions. Et il est fuyant. Autant prévenir que la communication du couple est désespérante.
📌 Yep. Ils doivent partager le même appartement. Elizabeth veut louer un endroit glauque, ne trouve pas de garant et requiert sa signature. Il lui offre son temps et finalement lui propose d'occuper une chambre chez lui. Une solution de secours.
📌 Après tout, leur relation est basée sur un contrat. Depuis leur mariage arrangé à leur cohabitation, ce n'est que pure convenance. Et dans les faits, ils se croisent à peine. Elle s'est installée dans la bibliothèque pour dessiner, lui bosse h24. Ni l'un ni l'autre ne cherchent à envahir l'espace de l'autre. Pour sûr, le respect est total.
📌 Mais rongez votre frein ! Cette histoire éveille beaucoup de frustration. Et Elizabeth ne fait que rougir ツ
📌 Au diable les défauts. J'ai apprécié ma lecture qui procure une sensation délicieuse et bienveillante. Très sympa, pour boucler l'année.
éditions Bookmark, Collection Infinity, 2024 pour la traduction
⭐⭐⭐⭐
“It was an I-hate-you kiss. Haven’t you ever had one of those?”
“I have no idea what that is.”
“It’s a kiss not born out of love, but out of hate.”
“Yeah, thanks. That’s evident in the name. I’m just confused because I don’t go around kissing people I hate.”
― R.S. Grey, To Have and to Hate