Les grosses briques ont tendance à me rendre un peu suspicieuse, bien souvent, j'ai peur que l'histoire traine un peu trop en longueur. Notamment en romance. Même si les exceptions existent (on pense à quelques romances slow-burn que j'affectionne particulièrement). Pourtant, quand c'est bien fait, j'adore ça. En imaginaire, ça me dérange moins. L'univers demande plus de développement et donc, plus de pages. Même si... parfois, au delà d'un certain seuil, ça peut quand même paraitre indigeste.
Pour illustrer le thème du jour, je vous propose le premier tome de Crescent City, un beau bébé de 952 pages, rien que ça. Si je vous parle de lui, c'est bien parce que le troisième arrive et que je n'ai pas encore lu le 2. Donc, je me tiens à ma nouvelle règle, tant que je ne lis pas un tome, je n'achète pas la suite. Et je l'avoue, le second tome, tout aussi gros, si ce n'est plus, me fout un peu les chocottes. Pourtant, j'ai aimé le premier mais je trouvais qu'il pouvait presque se suffire à lui-même. Et avouons-le, l'autrice et moi, on est pas toujours sur la même longueur d'ondes (moi, avoir abandonné Acotar ? YEP). Bref, j'ai aimé Crescent City #1 et cette année, je lis le 2 c'est promis.