3 minutes 25 de bonheur - François Morel

3 minutes 25 de bonheur - François Morel
minutes bonheur François Morel
De Noël / France Inter
Parution : 04/10/23
Pages : 256
Isbn : 9782207179314
Prix : 19.90 €
Présentation de l'éditeur
À savourer à petites doses ou à dévorer d’une traite.
Tout est affaire de point de vue. L’actualité, la politique, la vie des arts ou l’histoire de France prennent une allure délicieusement nouvelle et décalée sous la plume de François Morel. Dans ses chroniques hebdomadaires, il nous livre, en 3 minutes 25, un kaléidoscope pétillant de la vie moderne.
Sa verve familière, la vivacité de sa plume et le charme de ses traits d’esprit égaient une actualité plus ou moins brûlante. François Morel a l’art de nous rappeler, entre une ode à la poésie des bancs publics, un plaidoyer enflammé pour les personnes âgées et la découverte d’une nouvelle planète, les valeurs fondamentales du quotidien, et de la vie.
L'avis de mon mari

François Morel est un comédien français qui s’est fait connaître comme membre de la bande des Deschiens (avec aussi Yolande Moreau) qui ont sévi sur Canal Plus dans l’émission ‘Nulle Part Ailleurs’ dans les années 90.

Il est également acteur au théâtre et au cinéma mais aussi chroniqueur radio pour France Inter.

Donc chaque vendredi matin Morel fait une chronique de plus ou moins…3 minutes 25.

Ce sont ces chroniques qui sont retranscrites dans ce livre.

Je dois avouer que je n’avais jamais écouté une seule chronique, n’écoutant d’ailleurs jamais les radios françaises et très peu la radio en général.

Ces chroniques sont bien écrites et souvent évidemment avec beaucoup d’humour et de causticité mais jamais de méchanceté (sauf peut-être celle où il parle de Francis Huster).

Je dirais qu’en tant que belge, tout ce qui touche à la politique française m’indiffère complètement (déjà la politique belge…). Donc certaines chroniques ne m’ont pas du tout intéressé.

Ceci dit j’ai appris certains mots dont l’odonymie. L'odo ... quoi ?   L'odonymie est l’étude des noms propres désignant les voies de communication (par exemple le tunnel Annie Cordy à Bruxelles, non cité dans le livre).

Cela se lit donc avec un certain plaisir et comme il s’agit de chroniques, on peut piocher ou en lire quelques unes ici et là au petit déjeuner, par exemple ou n'importe quand. 

A noter aussi un bel hommage à Jean-Louis Trintignant.