Au large de Guernesey, Blackmore est une île coupée du monde. Il s’y passe des choses parfois mystérieuses. Aujourd’hui, quatre personnes ont disparu. Lorraine Chapelle, première femme diplômée de l’Institut de criminologie de Paris, et Edward Pierce, détective privé de l’occulte, ont été appelés par des amis à eux pour tenter de résoudre l’affaire. En pleine « Blackmore Week », riche en festivités, histoires de cultes, énigmes et dangers les attendent.
J’ai aimé :
– lire enfin un roman d’Henri Loevenbruck.
– le fait que l’histoire se passe sur une île loin de tout.
– que ce soit donc une intrigue à huis clos.
– que le mystère soit grand, avec un code à comprendre, des lettres à déchiffrer.
– qu’il y ait régulièrement de l’action. Les personnages ont peu de temps pour se reposer, peu importe les épreuves qu’ils ont traversées.
– le rythme du roman, donc. Il y a de l’action et les dialogues sont souvent piquants.
– l’aspect page-turner du livre. La lecture est fluide et il est difficile de ne pas commencer un nouveau chapitre.
– ce que contient cette intrigue : un culte maléfique, des mégalithes, des livres sur l’occulte, des gens aux yeux pas comme les autres… L’ambiance est sombre et intrigante de bout en bout.
– les deux personnages principaux créés par l’auteur et le caractère bien trempé de Lorraine. Elle et Edward sont francs, drôles et touchants aussi. Ce sont des complices agréables à suivre.
– qu’il y ait la possibilité d’une ou d’autres aventures les mettant en scène.
Les disparus de Blackmore est un roman policier aux multiples inspirations, écrit avec beaucoup de soin et d’amour par son auteur. En fin d’ouvrage, il livre un joli « chapitre » sur son grand-oncle Pierre Loevenbruck, lui aussi écrivain de littérature populaire.
Présentation de l’éditeur :
Octobre 1925. À Blackmore, une île coupée du monde au large de Guernesey, meurtres et disparitions sèment la terreur. Alors que la police piétine, Lorraine Chapelle, première femme diplômée de l’Institut de criminologie de Paris, est appelée en renfort. Cette cartésienne irréductible va devoir mener l’enquête aux côtés d’Edward Pierce, un Britannique spécialisé dans les sciences occultes qui se présente comme « détective de l’étrange ». Ensemble, ils affrontent les plus sombres secrets de Blackmore : les statues énigmatiques disséminées sur l’île, la rumeur d’un culte maléfique qui sévirait dans l’ombre, et ce vent lancinant, le murmure des brumes, qui ne cesse jamais. Entre mensonges et confidences, ce duo improbable devra démêler le vrai du faux dans une course contre la montre diabolique.