Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur est le premier recueil de nouvelles racontant les aventures d’Arsène Lupin. Maurice Leblanc ne comptait pas inventer d’autres aventures à son héro après son arrestation, mais les lecteurs en voulait plus. Il l’a donc fait évader. Et comment !
J’ai aimé :
– lire les premières aventures d’Arsène Lupin.
– qu’il s’agisse d’un recueil de nouvelles (des romans et d’autres recueils de nouvelles suivent). Le personnage nous séduit dans de multiples endroits et situations.
– qu’Arsène Lupin soit déjà connu quand la première nouvelle commence. Le lecteur pénètre dans un monde où la mythologie Arsène Lupin est déjà en route.
– Arsène Lupin, évidemment. Quel personnage ! Enfin, quels personnages ! Il a de nombreuses identités. Sûr de lui, drôle, en capacité d’être tendre, addict à cette vie de voleur, charmeur comme ce n’est peut-être même pas possible de l’être, c’est un régal de le suivre.
– les informations historiques qui jaillissent parfois, quand les énigmes s’entrelacent à l’Histoire.
– le fait que certains coups soient impossible à anticiper mais qu’on se délecte de voir les autres venir.
– sa relation avec Nelly.
Une lecture pleine de panache !
Vite, lire ou relire les autres aventures !
Présentation de l’éditeur :
Vif, audacieux, impertinent, rossant sans arrêt le commissaire (qui ici, en l’occurrence, s’appelle l’inspecteur Ganimard), traînant les cœurs après lui et mettant les rieurs de son côté, se moquant des situations acquises, ridiculisant les bourgeois, portant secours aux faibles, Arsène Lupin, gentleman cambrioleurest un Robin des Bois de la « Belle Époque ». Un Robin des Bois bien français : il ne se prend pas trop au sérieux, ses armes les plus meurtrières sont les traits d’esprit ; ce n’est pas un aristocrate qui vit comme un anarchiste mais un anarchiste qui vit comme un aristocrate.