Résumé :Qui ne tente rien...C'est ce que je me suis dit en quittant ma chambre universitaire pourrie pour me rendre à cette fête de fraternité. Maintenant que j'y suis, debout derrière une colonne et extrêmement mal à l'aise, tout me semble finalement assez ridicule. Encore plus quand on pense que je l'attends, lui, le grand Zack Morgan, roi de la glace et dieu de la chambre à coucher si j'en crois les rumeurs. Intéressant, c'est peu de le dire, et je ne peux pas nier que son physique soit avantageux - ou carrément phénoménal - mais je ne suis pas là pour ça. D'ailleurs, cela fait des semaines que j'essaie d'attirer son attention. Le joueur star de hockey, promis à un brillant avenir, ne me connaît certes pas encore, mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Cette soirée sera la bonne ! Car je dois absolument lui soumettre mon idée, que dis-je, l'offre unique qu'il ne pourra pas refuser : devenir mon faux petit ami. Enfin, juste assez longtemps pour que mon dossier soit retiré de la liste d'attente pour être définitivement validé, et que je puisse être acceptée dans l'université de mes rêves...
Mon avis :J’ai adoré, c’est exactement ce que j’attends d’une romance sportive et universitaire : de la tension autour de l’orientation et une soif de croquer la vie en mode YOLO.
L'autrice ajoute à cela deux personnages absolument canons.
- Lui, Zack, c’est un 10, il est la coqueluche des femmes et la star de la glace, mais lutte contre un syndrome du survivant qui lui fait subir des crises d’angoisse aux pires moments.
- Elle, Sugar, c’est une 10, elle est brillante et adorée par tous ceux et celles qui la croisent, mais elle est dans une vendetta de réussite pour prouver à un absent qu'il avait tort.
J’ai trouvé cette histoire entraînante et addictive, tantôt touchante, tantôt drôle, et tout du long, j’ai attendu que le mystère éclate. L’autrice a su installer son histoire dans le temps qu’il faut, pour nous convaincre, nous angoisser et nous ravir. D’ailleurs, justement, j’ai adoré que l’autrice accorde à ces personnages des temps calmes pour eux-mêmes et gérer leur galère individuellement, c’est si rare.
C’est drôle alors que je venais juste de dire que je n’avais jamais eu l’occasion de lire un samaritain trop porté par une héroïne, et me voilà servi par un coup de cœur.
C’est drôle, que je viens de dire que je n'ai jamais eu l’occasion de lire un "samaritain trope" porté par une héroïne, et me voilà servi par un coup de cœur.
Au plaisir.