Les Avrils – 2024 – 293 pages
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Sur scène, la narratrice se blesse le pied et sa carrière tombe à l’eau. Elle embarque alors pour la terre de ses origines, la Roumanie. Avec sa mère et sa folie. Elles rallient la ferme familiale, où elles retrouve tante Vera la mal-aimée et Mama Lucia, l’incomprise. Pendant six jours, elle mène l’enquête, consigne des notes dans son carnet noir. Elle découvre un village saccagé par le communisme, empreint de contes et de légendes. Où se cache la vérité? Pour la dénicher, la narratrice s’amuse avec les différents genres littéraires. Elle passe du poème à la mise en scène théâtrale, au spectacle de marionnettes, aux comptines… Elle joue avec les genres comme le passé qui semble se jouer d’elle, avec cette famille insaisissable.
Malgré les premières pages étaient prometteuses et la belle écriture… J’ai trouvé ce roman beaucoup trop farfelu. Ça part dans tous les sens, je m’y suis complètement perdue, on ne sait plus où est le vrai, le faux, les personnages sont insaisissables, je me suis égarée dans la généalogie familiale obscure. Une vraie cacophonie de narrative… à laquelle je n’ai pas accroché. Poupées roumaines, un roman beaucoup trop freestyle pour moi.