L’année 2024 touche à sa fin. Et comme l’an dernier, on se le dit : Enfin ! Pour fêter l’arrivée d’une nouvelle année (on espère même plus qu’elle soit moins éprouvante que la précédente à ce stade) on vous parle d’une des joies de notre vie, on vous parle littérature. Place au bilan lecture de l’année 2024 les ami.es !
C’est un article que nous avions pris beaucoup de plaisir à faire début 2024 et c’est avec une joie renouvelée qu’on vous retrouve pour parler bouquins. 2024 a été riche en excellentes lectures mais niveau stats, c’est un peu parti en couille…
L’ÉQUILIBRE EST ROMPU, LE MONDE VA S’EFFONDRER, FUYEZ PAUVRES FOUS !!!!!

Non je déconne je la joue drama queen mais rien de grave, on a juste tendance à ne pas faire gaffe à ce qu’on lit tout au long de l’année et à la fin on se rend compte qu’il y a des tendances qui se dégagent de nos lectures, c’est tout. Et certaines nous déplaisent, ne nous le cachons pas !!
Comme l’an dernier, on a créé un petit palmarès de nos meilleures lectures. Évidemment, ce n’est pas exhaustif mais on vous présente aujourd’hui une partie des livres qu’il y aurait à garder parmi nos 299 lectures de l’année ! (c’est tellement débile comme chiffre. J’aurais pas pu faire un petit effort pour arrondir ?!)
Mais avant toute chose, place à quelques petites statistiques parce que c’est stylé ces petits camemberts ! (Si vous aimez les camemberts, nous sommes toujours inspirées par les bilans de Déjeuner sous la pluie) Et surtout place à nous en totale roue libre sur l’analyse desdits stats. Attention, notre niveau d’amertume et notre ton acerbe pourraient heurter la sensibilité des plus jeunes.

Écoutez il y a des années avec et des années sans. Cette année n’est ni l’une ni l’autre, j’opterais pour un beau mitigé-cochon d’inde entre deux chaises sur ce point. D’un côté, on a lu d’excellents livres qui rejoignent la liste-des-livres-qui-marqueront-nos-vies-à-coup-sûr… Mais de l’autre, en voyant nos stats, on n’a pas vraiment l’impression que ça reflète notre année. J’avais pas eu la sensation de lire tant de graphiques que ça cette année. Pas que ça nous déplaise, juste notre ressenti et les chiffres collent pas. Un enlèvement extraterrestre nous rendrait peu lucides dites-vous ? Peut-être… THE TROUSSE IS OUTZERE comme on dit (Oui, pour répondre à votre question, on vient de retomber dans X-files y a peu) *tousse tousse* BREF, on s’égare !
Bref, les lectures graphiques tiennent toujours la dragée haute aux autres genres littéraires merdeux (on te voit la contempo prétentieuse là, baisse les yeux!!) avec un beau 42%. Une petite chute de 13% par rapport à l’an dernier mais bon, osef.
Et au fait, je réalise que je disais N’IMPORTE QUOI en introduction de cet article. En comparaison à l’an dernier, j’ai eu une année de lecture beaucoup plus équilibrée en termes de genres littéraires. Bravo moi, clap clap.
• Bon par contre nette chute de lectures côté pavés. En 2023 on avait lus 13 livres de plus de 600 pages contre… 3 cette années. PTDR, ça fait pshit un peu. Mais j’ai pas dit mon dernier mot… Pavés César, accrochez vos slips, on vient pour vous en 2025 ! (Oui oui Brothers de Yu Hua, c’est toi que je regarde droit dans les yeux, tu m’fais pas peur ok?!)
• Comme d’hab on a privilégié les lectures de moins de 200 pages, rien de bien neuf sous l’soleil me direz-vous !
• Bon et alors, l’an dernier on avait vraiment lu BEAUCOUP TROP de livres pour le travail proportionnellement à nos lectures de l’année. Ça donne quoi cette année?! Eh bien écoutez, je ne suis pas mécontente de vous dire que mon ressenti (c’est-à-dire moins de stress, l’impression de moins crouler sous les lectures de taf, etc.) colle… Mais au fait absolument PAS à la réalité, merde ! L’an dernier les lectures pour le travail représentaient « seulement » 41% de nos lectures contre 55% cette année. Et pourtant j’ai essayé d’être vigilante ! Les premiers mois nos résolutions sont solides et puis après pouf pouf, on recommence comme en 40 à se faire bouffer par le travail… BON, l’essentiel reste que, cette année on s’est quand même beaucoup moins senties submergées que l’année passée. Trouvons du positif là où on peut même si les chiffres ne sont pas avec nous !!!
• Côté répartitions en fonction du genre, les mecs ont pris le dessus en 2024 (la faute à ce satané rayon récits de voyage composé à 90% de mecs avec un melon INSUPPORTABLE ça !! hmm hmm, je m’égare encore, pardon). 53% d’hommes contre 42% de femmes, 4% de livres à plusieurs mains et mixtes… Et enfin, comme l’an dernier, la tranche est si petite que vous ne pouvez même presque pas la voir (la honte) mais nous n’avons lus que 4 livres rédigés par des personnes non-binaires. Iels sont là mais pas énormément quand même, un livre de plus que l’an dernier, c’pas ouf ouf…
• Enfin, sans grande surprise, on a lu plus de traductions que de livres dont la langue d’écriture d’origine est le français. Et ça, on a toujours pas vraiment envie que ça change ! Les goûts, les couleurs, toussa toussa (et puis les auteurs de littérature française contemporaine et leurs problèmes avec leurs mamans, merci mais très peu pour nous, on en a plein le uc’)
Bon, assez raconté de conneries, place au bilan détaillé (oui oui, c’était que l’intro les ami.es… quand on vous a dit que la rouelibritude était présente dans la salle avec nous en ce moment) avec nos petits chouchous.
Mon premier coup de cœur de l’année

🕳️ La maison dans laquelle – Mariam Petrosyan
La palme du premier coup de cœur de l’année revient forcément à La maison dans laquelle de Mariam Petrosyan… Et ce parce qu’on a tendance à s’attaquer aux livres qui nous font peur en début d’année histoire de commencer du bon pied (saurez-vous deviner notre lecture effrayante de janvier 2025? Indice, ce n’est pas sa taille qui nous effraie (la réponse n’est pas sexuelle, je précise, les coquinettous.)) Ici c’était évidemment la taille du bouquin (plus de 1000 pages tout de même !) mais aussi la richesse et la complexité apparente de ce livre qui nous intimidait grandement. Elle nous présente effectivement un univers tout à fait mystérieux dont les clefs sont progressivement données aux lecteur.ices attentif.ves. Toujours est-il qu’une fois le livre refermé, un aura de mystère continue de l’entourer ne nous donnant qu’une seule envie, y retourner ! Enfin, si vous voulez connaître notre ressenti à chaud, on vous invite à aller lire directement l’article que nous avons consacré à cet étrange livre en début d’année en suivant ce lien !
Mon dernier coup de cœur de l’année

🇧🇬 Lisière – Kapka Kassabova
Décidément, 2024 aura été placée sous le signe des littératures d’ex-URSS… Après le livre de l’arménienne Mariam Petrosyan, on passe de l’autre côté de la mer noire, direction la Bulgarie avec Lisière de Kapka Kassabova. Ce livre m’avait attiré dès sa sortie mais même topo que pour Petrosyan, je craignais de ne pas rentrer dedans, de ne pas comprendre, de ne pas être assez intelligente ou que sais-je (oui, c’est un vrai gimmick dans ma vie à ce stade !). Et dans un premier temps, j’ai bien cru que mes craintes allaient se vérifier tant les 30 premières pages m’ont paru arides. C’était le temps de comprendre le projet de l’autrice, de la voir s’épanouir dans cette exploration des terres de son enfance. L’autrice explore la frontière bulgare de part en part, du bord de la mer noire au Thessalonique en passant par la frontière turque, au travers de ses rencontres, son portrait en creux se dessine. Au fil de son voyage, elle ira à la rencontre des habitants de ces pays voisins, nous fera découvrir ce qui les éloigne mais aussi et surtout ce qui les rapproche, nous rappelant l’aspect artificiel des frontières imaginées par les Hommes. Alternant entre le passé soviétique (et au-delà) et le présent de cette région, l’autrice nous conte l’histoire de ce territoire pétri de superstitions, ses traditions, sa gastronomie. Un ouvrage entre enquête historique et récit de voyage dont l’érudition subtile nous a bluffé. On a vraiment eu le sentiment d’apprendre plein de choses de manière détournée. Bref, un beau coup de cœur pour finir l’année qui nous donne encore plus l’envie de découvrir les littératures de l’Europe de l’Est !
On a ri

📜 Junil – Joan-Lluis Lluis
Dans le lot de bouquins qu’on lit pour le taf, il nous arrive parfois, presque miraculeusement, de lire un livre qui résonne profondément avec nos goûts. La plupart du temps les livres que je conseille en librairie sont des livres que j’ai aimés mais qui ne vont pas spécialement marquer ma vie de lectrice. Junil, vous l’aurez compris, fait partie de la première catégorie. Marquer nos vies, c’est peut-être encore trop tôt pour le dire, mais notre année, Junil l’a marquée.
Junil, c’est l’histoire de la fille d’un libraire dans l’Empire romain du premier siècle. Passant ses journées à encoller des papyrus, elle devient vite proche des esclaves qui l’accompagnent dans ses tâches. L’un est un bibliothécaire qui n’a pas vu la lumière du jour depuis des années (Lafas), l’autre un vieil esclave dont l’auteur nous dit qu’il est bossu et manchot (Trident). Son quotidien est plutôt morose, teinté de quelques éclaircies après sa découverte des textes d’Ovide auquel elle voue une véritable admiration. Mais un jour Junil commet un acte qui va la pousser à fuir l’empire sous peine d’y trouver la mort. En compagnie de ses deux nouveaux amis, elle taille la route. Et qu’importe si devant eux le monde n’a rien de mieux à leur offrir que des territoires barbares… Mais finalement, qui sera le barbare de cette histoire ?! Un texte teinté d’un humour subtil, une véritable cavalcade qui au-delà de son aspect addictif et divertissant, nous rappelle les pouvoirs de la littérature et la camaraderie !
On a chouiné

⛏️ Amiante – Sébastien Dulude
Parmi nos coups de cœur de la rentrée littéraire de septembre 2024 s’est glissé un primo-romancier. Jeune auteur québécois, Sébastien Dulude a, tout comme Junil, marqué le dernier quart de notre année avec Amiante !
Amiante nous fait suivre le quotidien de Steve Dubois, 9 ans et de son meilleur ami fraîchement rencontré, Poulin, 10 ans. Leur quotidien est celui typique des enfants de cette ville industrielle en plein déclin. Jouer dans les mines d’amiante, parcourir ces paysages peu accueillants avec, à la clef une amitié qui vous marque à vie. Mais l’année 1986 est riche en tragédies : Tchernobyl, la chute de la navette Challengers c’est ce dont l’histoire se souviendra… Mais aux drames de l’histoire avec un grand H vient s’ajouter un drame tout à fait personnel dans la vie de Steve.
Un très beau premier roman sur une amitié qui irradie tout, sur le passage de l’enfance à l’adolescence, le tout sur fond de cité minière en déclin, ce livre avait absolument tout pour me plaire. C’était très poétique, hautement atmosphérique et évidemment j’ai bien bien chialé sur la fin, vous vous en doutez.

🍇 Les raisins de la colère – John Steinbeck
Mention spéciale aux Raisins de la colère, parce que je ne pouvais tout simplement pas réaliser le bilan de mon année 2024 sans vous parler de ce classique qui a directement rejoint la liste des grands livres de ma vie. Mon article complet sur les Raisins de la colère est toujours disponible ici.
Si vous recherchez une lecture pour vous donner de la hargne en 2025, lisez les Raisins de la colère… Et tant qu’on parle de hargne, place à la catégorie suivante ! (olala comment la meuf soigne ses transitions, c’est DINGO… Vous êtes impressionné.es j’espère !)
Foutre le feu, tout casser

🔻 Des électeurs ordinaires – Félicien Faury
Rien de bien original de ce côté-ci, vous l’avez probablement déjà vu partout ce livre et pour cause… 2024 c’était aussi une énième année de montée de l’extrême-droite avec pour marche-pieds un macronisme toujours aussi médiocre qu’à son habitude. Alors comme beaucoup de monde, en plein trouble, dans un entre-deux-tours des législatives où on hésitait entre tout cramer et se défenestrer, on s’est tournés vers les livres histoire de rationaliser tout ça.
À la suite d’une enquête sociologique poussée basée sur des entretiens qualitatifs plus que quantitatifs dans le Sud-Ouest de la France, Félicien Faury nous brosse le portrait des électeurs d’extrême droite de la région. Entre peur du déclassement et racisme, Félicien Faury démontre que les électeurs d’extrême droite se trouvent aussi dans la classe moyenne, démontant au passage l’idée d’un vote extrême-droite qui serait majoritairement issu d’une classe ouvrière déçue par la gauche. Un ouvrage d’utilité publique qui nous a bien fait grincer les dents tant certains entretiens contiennent d’horreurs. C’était affligeant mais connaître l’ennemi et ses moyens de parvenir au pouvoir, c’est important.
Dévoré et approuvé

🏴 Ironopolis – Glen James Brown
Bon bah 2024 année des littératures sombres et du gauchisme poussé à son maximum… Mais en même temps, excellent cru donc pour une fois, on a suivi notre cœur et on en ressort avec plein de lectures marquantes, bonne nouvelle nécepa !
Dans une cité ouvrière sur le point d’être rasée, Glen James Brown nous fait entendre la voix de 6 habitants qui l’ont peuplée. Tour à tour, les uns et les autres prennent la parole. Se tisse alors une toile inextricable de relations. Le récit des uns éclaire intelligemment le récit des autres nous faisant comprendre progressivement les enjeux de leurs différents arcs narratifs. Bref, j’ai l’impression d’hyper mal en parler mais sachez que, c’est brillant, ça se dévore, c’est sombre (en même temps l’Angleterre sous Thatcher, voilà voilà) et en prime, c’est saupoudré d’une pointe de surnaturel qui a fini de nous embarquer dans cette histoire. Tout en étant très différent de La maison dans laquelle, je pense que ce livre a des qualités qui devraient plaire au lecteur.ices de ce dernier !
Ces auteur.ices qu’on aimerait continuer de découvrir à l’avenir
Bon alors en voyant ce bilan, j’imagine que certains noms doivent vous sembler évidents. Déjà, évidemment qu’on va lire d’autres livres de Steinbeck ! Évidemment que Sébastien Dulude, Joan-Lluis Lluis et Glen James Brown seront des auteurs dont nous suivrons les publications de près… Mariam Petrosyan n’ayant pas d’autres livres à son actif, nous nous contenterons de fantasmer une relecture de La maison dans laquelle, un jour, si on a le temps et la disponibilité intellectuelle. L’autre évidence à la lecture de notre bilan, c’est que nous allons poursuivre notre découverte de l’œuvre de :
• Kapka Kassabova dont nous venons de vous parler plus haut avec Lisière. L’autrice a déjà deux autres livres à son actif qui semblent dans la même veine. J’ai aimé son approche de l’histoire et du récit de voyage avec Lisière et c’est donc avec plaisir que je me plongerai dans L’écho du lac et Élixir ! En 2025 ? Peut-être… Mais ne nous emballons pas !!



• Robert Macfarlane dont j’ai adoré le foisonnant et érudit Underland. Là encore, tout comme Kassabova, l’auteur opte pour un récit à mi-chemin entre le récit de voyage et le récit historico-scientifique. De rencontres en rencontres, il nous plonge dans les méandres de la Terre aux côtés de ceux qui l’explorent, l’exploitent, où y ont laissé leurs traces. Des grottes préhistoriques aux lacs souterrains en passant par les catacombes de Paris, l’auteur nous mène dans un voyage à la verticale, dans les souterrains, miroirs de notre monde. C’était une lecture hautement enthousiasmante, j’y ai appris plein de choses encore une fois et j’ai grandement apprécié l’humilité de l’auteur… Ce qui me fait dire que je devrais probablement m’intéresser à ses autres livres même s’ils semblent assez différents !


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Enfin, en vrac car j’ai la flemme de vous détailler absolument tout mais, j’ai adoré un livre et aimerais relire les plumes de :
– Junichiro Tanizaki pour sa capacité à écrire des personnages détestables et des histoires hautement malaisantes avec une plume limpide.
– Lucie Azema pour son rapport au voyage et son intérêt précis pour le voyage au féminin.
– Camille Jourdy, pour ses illustrations colorées pleines de tendresse et sa capacité à écrire des dialogues qui sonnent si justes.
– Frederic Lordon pour sa langue parfois compliquée mais ses idées très nettes.
– Karim Kattan pour son évocation poignante de la Palestine et l’écriture onirique teintée de réalisme magique de ses textes.
– Kazuo Umezu pour ses histoires qui nous rappellent que les enfants ne sont rien de plus que des adultes atroces en puissance.






Bref, vous l’aurez compris, 2024 aura au moins été une très bonne année de lecture (on trouve du positif où on peut!) Il y a encore au moins 10 livres dont nous aurions pu vous parler mais on a décidé de s’arrêter là parce qu’on a déjà passé ENORMEMENT de temps sur cet article. On espère que vous y aurez trouvé de quoi vous inspirer l’envie de lire. Et de notre côté on espère que 2025 sera une année aussi riche en découvertes…
Comme les années passées, on vous invite à garder l’œil ouvert, après le bilan on aime se prêter au jeu des « résolutions littéraires »… Restez connectés, ça devrait arriver bientôt (le dimanche 12 pour être précise) !!
D’ici là on VEUT connaître votre meilleure lecture de l’année. S’il ne devait en rester qu’une (oui on sait, c’est horrible comme question… Si vous voulez nous parler de 3 livres ou même 10, on prend aussi !!!) A vos claviers les mimis !
Des bisous les amigos,
Tata Alberte de retour (mais pour combien de temps ?)