Qui dit nouvelle série, dit nouvelle bande d’amis à adopter et cette fois-ci, direction la glace avec les hockeyeurs des Wildcats ! Pour ce premier tome d’une série en 5 volets, on commence fort avec un green flag à tomber : Léo Lohan . Ce mec, c’est un remède ambulant pour tous les cœurs brisés par des égoïstes en série. Attention, passer du temps avec lui risque sérieusement de redéfinir vos standards amoureux .
Un grand à Aurélie, admin du groupe “French blog tours”, Rebecca Jenshak pour ce service presse.

Et si vous révisez votre jugement ?

De quoi ça parle : Tout le monde sait que l’on ne doit pas s’approcher de la fille de l’entraîneur.
Malheureusement pour moi, je n’avais pas réalisé que cette brune impertinente qui me servait des shots était Scarlett Miller, la plus jeune des filles de l’entraîneur en chef des Wildcats. Si je l’avais su, je me serais peut-être tenu à l’écart. Après tout, je suis le gentil de l’équipe. Le responsable, le joueur sur lequel l’entraîneur compte pour garder notre jeune équipe dans le droit chemin. Cette fille me retourne le cerveau. Elle change la donne.
Sortir avec des joueurs est tout simplement interdit quand on est la fille de l’entraîneur.
C’était la raison pour laquelle il était si ennuyeux d’apprendre que mon coup de foudre d’un soir s’avérait être Léo Lohan, l’attaquant vedette des Wildcats. J’ai eu le cœur brisé trop souvent par des athlètes professionnels qui se soucient plus de leur image que des filles qui partagent leur lit. Passe ton chemin Scarlett! Sauf que Léo s’appliquait soigneusement à me rappeler à quel point on était bien ensemble. Je me déplaçais sur la pointe des pieds dans l’arène pour tout faire pour l’éviter à chaque instant. Il est peut-être connu comme le gentil garçon de l’équipe, mais il est arrogant et persévérant, et il serait prêt à jouer un mauvais tour pour gagner mon cœur.

Ce que j’ai aimé… ou pas… : Scarlett retourne chez ses parents, le cœur lourd après une rupture amoureuse et une remise en question de sa carrière. Redoutant leur jugement, elle tente de sauver la face en décrochant un job, mais serveuse n’est clairement pas sa vocation (#deuxmainsgauches). Mais c’est justement pendant son unique service qu’elle rencontre Léo : charmant, souriant et accessoirement vainqueur du quiz de culture générale. Un verre partagé, un sourire échangé et la soirée se termine chez lui. Tout aurait pu s’arrêter là, sauf que Scarlett découvre que Léo n’est pas juste un beau parleur, c’est aussi l’un des attaquants de l’équipe de hockey dont son père s’occupe. Oups. Première raison d’éviter un deuxième rendez-vous : son père + Léo = combo gênant assuré. Deuxième raison : elle a déjà donné avec les sportifs et elle en est sortie perdante. Troisième raison : sa vie est un chaos ambulant, alors entamer une relation avec un homme toujours en déplacement ? Très peu pour elle. Mais la vie (Léo ?) semble décider à contrarier ses plans. Entre cafés matinaux, regards insistants et détermination hors normes, il ne compte pas s’avouer vaincu. Scarlett, elle, accepte de donner un coup de main à son père en travaillant pour l’équipe de hockey, mais redoute chaque occasion de croiser Léo, bien trop sexy, même sous tout son équipement de hockeyeur. Entre maladresses, non-dits et rapprochements imprévus, leur histoire pourrait bien patiner avant de marquer le but tant inattendu.

J’adore la plume de Rebecca Jenshak : fraîche, dynamique, avec ce petit twist de hockey qui fait toute la différence. Ici, pas question de tomber dans le cliché du hockeyeur arrogant, séducteur compulsif et sans cervelle. Léo, c’est tout l’inverse. Certes, il a fait des erreurs par le passé, mais il en a tiré des leçons. Professionnel sur la glace comme dans ses études, il jongle avec brio entre ses responsabilités et son envie de prouver que son histoire avec Scarlett mérite une chance. Il ne s’impose jamais, mais avance avec patience, respectant le passé de Scarlett et ses réticences envers les sportifs. Lui, c’est la douceur incarnée, même si certaines décisions maladroites pourraient lui compliquer la tâche. De son côté, Scarlett a du caractère sans tomber dans l’excès de la “badass impolie”. J’ai particulièrement aimé ses interactions avec son père : leurs petites habitudes, leurs débriefs… Comme toujours avec Rebecca Jenshak, la force de ses séries réside dans les relations entre les personnages secondaires. Les joueurs des Wildcats forment une véritable famille : ils se soutiennent, se taquinent et partagent même leur quotidien. Entre les soirées chez les uns et les autres, les matchs de hockey enflammés et les victoires dignement fêtées, on plonge dans un univers vivant et rempli de testostérone. La romance, quant à elle, est mignonne. Léo ne force rien, mais marque des points avec des attentions simples et des sorties originales. Il incarne la douceur dans un monde de brutes et il met la barre très haute pour les tomes à venir. Mention spéciale à sa relation avec Ash, qui m’a énormément plu (j’ai hâte d’en apprendre plus sur lui) ! En bonus, on retrouve même Johnny Maverick de la série Nuits du Campus. Bref, une lecture dans laquelle hockey, romance et relations humaines s’entremêlent parfaitement. Une belle introduction pour cette nouvelle saga prometteuse !

@ très vite entre deux chapitres
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