Brève histoire de pêche à la mouche - Paulus Hochgatterer
Traduit de l'autrichien par Françoise Kenk
Quidam Éditeur - Collection Made in Europe
Un matin de septembre, qui pour d'autres raisons, restera dans l'Histoire, trois amis partent ensemble pour une partie de pêche. Julius, l'Irlandais et le narrateur sont psychiatres ou psychologues et se connaissent depuis longtemps. Sur l'autoroute, en chemin, ils s'arrêtent pour le petit déjeuner et font connaissance de la serveuse, jolie jeune femme qu'ils persuadent de les accompagner. Puis ils poursuivent leur route vers leur destination, où commence la partie de pêche.
Si je vous dis munro killer, red butcher, egg-sucking leech, ça vous dis quelque chose ? Et bien, ce sont des mouches à hameçons doubles ou triples, des monstres.que même l’Irlandais n’a jamais utilisés. Lors de son voyage en Norvège, il s’est contenté de mouches plus classiques comme les grey fox ou rusty rat, parfaites pour ferrer le saumon Quand au narrateur, il préfère une Highland dun ou des culs-de-canard, ou alors une nymphe scud, en dernier recours.
C'est une journée particulière qui nous est contée ici et qui alterne les réflexions du narrateur sur sa vie personnelle, ses amitiés, ses relations professionnelles, ses fantasmes avec la description bucolique d’une journée de pêche dans une campagne sauvage et éloignée, entrecoupée de quelques leçons de pêche à la mouche qui donnent un aperçu de cette activité très technique.
Un extrait :
J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio. Merci à Quidam Éditeur pour cet envoi, qui m'a permis de passer un très bon moment ! Quelques avis chez Marie-Claire, Cathulu, Malice, Lily et Armande.
Traduit de l'autrichien par Françoise Kenk
Quidam Éditeur - Collection Made in Europe
Un matin de septembre, qui pour d'autres raisons, restera dans l'Histoire, trois amis partent ensemble pour une partie de pêche. Julius, l'Irlandais et le narrateur sont psychiatres ou psychologues et se connaissent depuis longtemps. Sur l'autoroute, en chemin, ils s'arrêtent pour le petit déjeuner et font connaissance de la serveuse, jolie jeune femme qu'ils persuadent de les accompagner. Puis ils poursuivent leur route vers leur destination, où commence la partie de pêche.
Si je vous dis munro killer, red butcher, egg-sucking leech, ça vous dis quelque chose ? Et bien, ce sont des mouches à hameçons doubles ou triples, des monstres.que même l’Irlandais n’a jamais utilisés. Lors de son voyage en Norvège, il s’est contenté de mouches plus classiques comme les grey fox ou rusty rat, parfaites pour ferrer le saumon Quand au narrateur, il préfère une Highland dun ou des culs-de-canard, ou alors une nymphe scud, en dernier recours.
C'est une journée particulière qui nous est contée ici et qui alterne les réflexions du narrateur sur sa vie personnelle, ses amitiés, ses relations professionnelles, ses fantasmes avec la description bucolique d’une journée de pêche dans une campagne sauvage et éloignée, entrecoupée de quelques leçons de pêche à la mouche qui donnent un aperçu de cette activité très technique.
Un extrait :
Les nuages se dissipent, le vent monte. Il faut lancer bien droit et avec plus de force, stopper rapidement le lancer arrière et, dans le mouvement avant, de la main gauche faire une traction sur la soie. L’Irlandais essaie d’abord quelques lancers très forcés, mais le vent est si violent, même juste au-dessus de l’eau que, après trois ou quatre mètres, sa spirale se défait complètement. (p. 87)
J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio. Merci à Quidam Éditeur pour cet envoi, qui m'a permis de passer un très bon moment ! Quelques avis chez Marie-Claire, Cathulu, Malice, Lily et Armande.