Résumé :
A onze ans, Rachel, fille d'une mère danoise et d'un père G.I. noir americain, voir sa vie basculer un triste jour d'été. Un drame dont elle est la seule survivante lui arrache sa famille. Recueillie par sa grand-mère, une femme aussi aimante qu'intransigeante, Rachel decouvre bientot la difficulté d'etre metisse dans une societé qui donne trop d'importance à la couleur de peau.
Mais la véritable nature de la tragédie qui enlise Rachel lui sera revelée par Brick, un jeune voisin qui a assisté à sa chute et qui se retrouve, bien malgré lui, depositaire du seul fragment de verité susceptible de liberer la fillette des ombres de son passé.
Mon avis :
Rachel a une dizaine d'année et vient tout juste de survivre à quelque chose de terrible.
Elle est receuillie par sa grand-mère paternelle, une noire.
La fillette métisse a la peau caramel, les cheveux crepus, et les yeux bleus.
Elle ne sait pas trop ce qu'elle est.
Ni vraiment blanche, ni vraiment noire. Dans quel clan de mettre ?
Les noirs qui renieraient presque leurs origines ("c'est un truc de noir ça ! fais quelque chose de plus respectable !) ou les blancs qui refusent le melangent ("ha ha tu te crois belle!") ?
Elle essaie de vivre sa vie, de se faire des ami(e)s, de flirter.
Un jeune garçon, Brick, a été témoin du drame qui lui a arraché toute sa famille, il essaie par tous les moyens de se rapprocher d'elle pour l'aider.
Qui est ce gamin ? Et le mysterieux homme aux pigeons ? Qu'est ce qui s'est passé ce jour là ?
J'ai eu une tendresse particuliere pour Rachel. Parce que je n'ai jamais été victime de racisme (blanche comme le cul de Casper), je ne sais pas ce que ça fait. Et là, lire toute cette discrimination, ce rejet, meme si evidemment je suis au courant (je ne vis pas dans une grotte hein, quand meme), ça m'a fait de la peine pour elle.
Mais c'est une gamine forte, elle surmonte tout ça comme elle peut, du moment qu'elle vit sa vie tranquillou
Tante Loretta aussi, je l'ai beaucoup aimé. Beaucoup aimé sa relation avec Grand-mère ou Rachel.
Et bien sur, comment ne pas aimer Brick ♥
Y'a juste grand-mère. Qui est en fait une grand-mère comme toutes les autres. On l'aime bien, elle est super, mais quand meme, par moment, elle exagere un peu, hein mémé.
J'ai beaucoup aimé cette histoire, le combat, le deuil, se reconstruire apres avoir perdu tous ses reperes, le metissage. L'amour d'une fillette.
A onze ans, Rachel, fille d'une mère danoise et d'un père G.I. noir americain, voir sa vie basculer un triste jour d'été. Un drame dont elle est la seule survivante lui arrache sa famille. Recueillie par sa grand-mère, une femme aussi aimante qu'intransigeante, Rachel decouvre bientot la difficulté d'etre metisse dans une societé qui donne trop d'importance à la couleur de peau.
Mais la véritable nature de la tragédie qui enlise Rachel lui sera revelée par Brick, un jeune voisin qui a assisté à sa chute et qui se retrouve, bien malgré lui, depositaire du seul fragment de verité susceptible de liberer la fillette des ombres de son passé.
Mon avis :
Rachel a une dizaine d'année et vient tout juste de survivre à quelque chose de terrible.
Elle est receuillie par sa grand-mère paternelle, une noire.
La fillette métisse a la peau caramel, les cheveux crepus, et les yeux bleus.
Elle ne sait pas trop ce qu'elle est.
Ni vraiment blanche, ni vraiment noire. Dans quel clan de mettre ?
Les noirs qui renieraient presque leurs origines ("c'est un truc de noir ça ! fais quelque chose de plus respectable !) ou les blancs qui refusent le melangent ("ha ha tu te crois belle!") ?
Elle essaie de vivre sa vie, de se faire des ami(e)s, de flirter.
Un jeune garçon, Brick, a été témoin du drame qui lui a arraché toute sa famille, il essaie par tous les moyens de se rapprocher d'elle pour l'aider.
Qui est ce gamin ? Et le mysterieux homme aux pigeons ? Qu'est ce qui s'est passé ce jour là ?
J'ai eu une tendresse particuliere pour Rachel. Parce que je n'ai jamais été victime de racisme (blanche comme le cul de Casper), je ne sais pas ce que ça fait. Et là, lire toute cette discrimination, ce rejet, meme si evidemment je suis au courant (je ne vis pas dans une grotte hein, quand meme), ça m'a fait de la peine pour elle.
Mais c'est une gamine forte, elle surmonte tout ça comme elle peut, du moment qu'elle vit sa vie tranquillou
Tante Loretta aussi, je l'ai beaucoup aimé. Beaucoup aimé sa relation avec Grand-mère ou Rachel.
Et bien sur, comment ne pas aimer Brick ♥
Y'a juste grand-mère. Qui est en fait une grand-mère comme toutes les autres. On l'aime bien, elle est super, mais quand meme, par moment, elle exagere un peu, hein mémé.
J'ai beaucoup aimé cette histoire, le combat, le deuil, se reconstruire apres avoir perdu tous ses reperes, le metissage. L'amour d'une fillette.