Quatrième de couverture :Dans Le Bonheur en cinq lettres, on avait fait connaissance avec Chloé au moment de la mort de sa mère. Depuis, cinq ans ont passé. Chloé à 20 ans, elle a maintenant un petit ami, Benjamin, mais ne sait toujours pas quoi faire de sa vie. Tout n'est pas devenu plus facile, dommage. On dirait même que les limites vacillent. Faut-il toujours dire toute la vérité pour être heureux ? Benjamin n'a aucune envie que ses parents découvrent l'existence de la jeune fille. Mais pourquoi ? Et que cache Sacha, le frère de Benjamin ? Quant à Marjolaine, elle se met dans une situation délicate, qu'elle va demander à Chloé d'assumer à sa place... Entre mensonges et petites lâchetés du quotidien, la vie suit son cours, jusqu'à atteindre un point culminant, qui va faire éclater les repères et les choix.
Mon avis : Le bonheur en cinq mensonges est en réalité la suite du roman « Le bonheur en cinq lettres », mais je vous rassure tout de suite, sans avoir lu le premier, je n’ai pas eu de mal à rentré dans l’histoire. Chloé, jeune fille âgée d’une vingtaine d’années vie seule avec son frère et sa sœur, mère décédée et père absent. Elle doit faire face au monde du haut de ses vingt ans à la vie qui l’entoure, les responsabilités du monde adulte. En suivant les aventures de Chloé, étudiante en deuxième années qui doit vivre par elle-même et découvrir sa voie, passer de l’adolescence à l’âge adulte. Me venait souvent à l’esprit la phrase « Quand on dit que le bonheur existe, c’est un tissu de mensonges ». Lignes après lignes Chloé par de petits mensonges sans trop d’importance trouve son bonheur et celui des siens. Il y aura certainement une suite à cet opus, on y verra certainement encore un changement chez Chloé, Benjamin avouera-t-il enfin à ses parents sa liaison avec la pauvre Chloé ??? Il me semble, que ce roman est idéal pour les ado, d’ailleurs il s’agit d’un roman jeunesse, c’est à la fois tendre et fort d’émotion. L’auteur à d’ailleurs une très jolie plume et sait mettre en valeur ses personnages, auxquels nous finissons par nous attacher.