Propulsée un peu par hasard de l’autre coté de la galaxie, Zita veut à tout prix retrouver son copain Joseph, enlevé par une immonde bestiole aux redoutables tentacules. Débarquant sur une planète inconnue menacée de collision avec un astéroïde, la jeune fille va faire d’étranges rencontres et se lancer dans un périple qui l’amènera au cœur des inquiétantes « Terres de Rouille ».
Avec le premier tome de cette série, Ben Hatke fait découvrir aux enfants la SF et le space-opera. Il crée un univers foisonnant dont l’étonnant bestiaire se révèle plus amusant qu’effrayant. Zita est une gamine intrépide qui va devoir faire face à nombre d’épreuves. Heureusement, elle pourra compter sur l’amitié et la solidarité du petit groupe de personnages qui l’accompagnera au fil de son voyage. Gros costaud, n°1, Pipeau, Mulot et Randy le robot feront tout pour lui venir en aide, même si certains cachent bien leur jeu…
Niveau dessin le trait, simple et nerveux, est au service d’un découpage laissant une place prépondérante aux scènes d’action. Les événements s’enchaînent sans temps mort et le texte peu abondant fait que l’on engloutit les 180 pages en un clin d’œil. Seul bémol, les couleurs sont ternes et rendent les décors un peu tristounets.
Je ne crierai pas au génie mais cet album propose une vraie lecture détente et permettra d’initier nombre de jeunes lecteurs à un genre qu’ils n’ont pas souvent l’occasion de fréquenter. Et puis voir une petite fille qui n’a pas froid aux yeux jouer les aventurières et venir au secours de son copain, l’air de rien, ce n’est pas une situation si courante dans la BD jeunesse actuelle. Personnellement, c’est une inversion des rôles qui me plait beaucoup.
Une nouvelle lecture commune que je partage avec Noukette (oui, je sais, comme hier, et alors ?).
Zita, la fille de l’espace T1 de Ben Hatke. Rue de Sèvres, 2013. 186 pages. 11,50 euros. A partir de 8 ans.
Les avis de Leiloona, Nadael et Stephie
Avec le premier tome de cette série, Ben Hatke fait découvrir aux enfants la SF et le space-opera. Il crée un univers foisonnant dont l’étonnant bestiaire se révèle plus amusant qu’effrayant. Zita est une gamine intrépide qui va devoir faire face à nombre d’épreuves. Heureusement, elle pourra compter sur l’amitié et la solidarité du petit groupe de personnages qui l’accompagnera au fil de son voyage. Gros costaud, n°1, Pipeau, Mulot et Randy le robot feront tout pour lui venir en aide, même si certains cachent bien leur jeu…
Niveau dessin le trait, simple et nerveux, est au service d’un découpage laissant une place prépondérante aux scènes d’action. Les événements s’enchaînent sans temps mort et le texte peu abondant fait que l’on engloutit les 180 pages en un clin d’œil. Seul bémol, les couleurs sont ternes et rendent les décors un peu tristounets.
Je ne crierai pas au génie mais cet album propose une vraie lecture détente et permettra d’initier nombre de jeunes lecteurs à un genre qu’ils n’ont pas souvent l’occasion de fréquenter. Et puis voir une petite fille qui n’a pas froid aux yeux jouer les aventurières et venir au secours de son copain, l’air de rien, ce n’est pas une situation si courante dans la BD jeunesse actuelle. Personnellement, c’est une inversion des rôles qui me plait beaucoup.
Une nouvelle lecture commune que je partage avec Noukette (oui, je sais, comme hier, et alors ?).
Zita, la fille de l’espace T1 de Ben Hatke. Rue de Sèvres, 2013. 186 pages. 11,50 euros. A partir de 8 ans.
Les avis de Leiloona, Nadael et Stephie