Cher Père Noël,
je te le concède, je n’ai pas été plus sage cette année que les précédentes. En 2013, on m’a qualifié d’anarchiste (mon patron), de fouteur de merde (mon patron, encore, il m’aime beaucoup^^), de sale gosse (une blogueuse), de boulet (ma femme, mais là pour le coup je la comprends et je suis limite d’accord avec elle), de fils de p... (un commentateur mécontent sur ce blog) et d’autres diverses joyeusetés qui n’ont fait qu’effleurer le peu d’amour propre qui me reste. Pour autant j’estime avoir droit à un ou deux petits cadeaux de ta part parce que quand même, et tu le sais bien, je reste quelqu’un de foncièrement gentil. Alors voila, je t’ai dressé une petite liste, tu choisis ce que tu veux du moment que je trouve sous le sapin le coffret Gaston qui me fait tant envie. A bon entendeur…
Coffret intégrale Gaston : parce que Gaston, parce que cet objet magnifique reprend l’ensemble des gags de façon chronologique et parce que malgré son prix délirant, il me le faut absolument (oui c’est un pur caprice de gosse, et alors ?).
Amorostasia : parce qu’il a été présenté plusieurs fois ces dernières semaines par des personnes dont l’avis compte beaucoup pour moi et que j’ai très envie de le découvrir.
Encore cinq minutes Maria : parce que Marilyne m’a dit de lire de la littérature argentine avant le salon du livre du mois de mars et que j’écoute toujours ce que me dit Marilyne. En plus ce titre-là me tente beaucoup beaucoup.
Compagnie K : parce que tout le monde en dit le plus grand bien, que je l’ai emprunté à la médiathèque et que j’ai dû le rendre sans l’avoir ouvert.
Le dernier lapon : parce qu’il parait que je dois lire plus de polars et que celui-là collectionne les récompenses. En plus Hélène en a fait un coup de cœur et pour ce qui est des polars elle en connait un rayon.
Fantasmes : les copines de classe : parce qu’il me faut bien quelques munitions pour le rendez-vous de Stephie, parce que le titre m’interpelle et que je n’ai pas souvenir d’avoir eu des copines de classe comme celles que l’on voit sur la couverture.
Journal d’un corps : parce que Mo’ et Valérie en ont fait un énorme coup de cœur et que quand elles s’y mettent toutes les deux j’ai envie de les suivre les yeux fermés.
Le lion et l’oiseau : parce que sans un album pour les petits cette liste n’aurait pas de sens et parce que Un autre endroit, mon fournisseur attitré de pépites jeunesse, l’a beaucoup aimé.
La fée carabine : parce que maintenant que j’ai mis un doigt dans l’engrenage de la saga Malaussène, je suis pris au piège.
Pendant que le roi de Prusse… : parce que Zidrou, parce que Noukette en a dit le plus grand bien (même si dès qu’elle parle de Zidrou elle perd toute objectivité) et parce que je suis persuadé que cette BD va me plaire.
Red Devils : King King : parce que j’ai eu le malheur de prêter ce CD il y a fort longtemps et que je ne l’ai jamais revu depuis. Parce que ce live (enregistré en une seule prise dans un bar de Los Angeles par un groupe qui n’aura jamais signé le moindre album studio) est un moment d’anthologie et que je voudrais absolument le retrouver.
Qui touche à mon corps je le tue : parce qu’il est écrit que je vais dévorer tout la bibliographie de Valentine Goby.
je te le concède, je n’ai pas été plus sage cette année que les précédentes. En 2013, on m’a qualifié d’anarchiste (mon patron), de fouteur de merde (mon patron, encore, il m’aime beaucoup^^), de sale gosse (une blogueuse), de boulet (ma femme, mais là pour le coup je la comprends et je suis limite d’accord avec elle), de fils de p... (un commentateur mécontent sur ce blog) et d’autres diverses joyeusetés qui n’ont fait qu’effleurer le peu d’amour propre qui me reste. Pour autant j’estime avoir droit à un ou deux petits cadeaux de ta part parce que quand même, et tu le sais bien, je reste quelqu’un de foncièrement gentil. Alors voila, je t’ai dressé une petite liste, tu choisis ce que tu veux du moment que je trouve sous le sapin le coffret Gaston qui me fait tant envie. A bon entendeur…
Coffret intégrale Gaston : parce que Gaston, parce que cet objet magnifique reprend l’ensemble des gags de façon chronologique et parce que malgré son prix délirant, il me le faut absolument (oui c’est un pur caprice de gosse, et alors ?).
Amorostasia : parce qu’il a été présenté plusieurs fois ces dernières semaines par des personnes dont l’avis compte beaucoup pour moi et que j’ai très envie de le découvrir.
Encore cinq minutes Maria : parce que Marilyne m’a dit de lire de la littérature argentine avant le salon du livre du mois de mars et que j’écoute toujours ce que me dit Marilyne. En plus ce titre-là me tente beaucoup beaucoup.
Compagnie K : parce que tout le monde en dit le plus grand bien, que je l’ai emprunté à la médiathèque et que j’ai dû le rendre sans l’avoir ouvert.
Le dernier lapon : parce qu’il parait que je dois lire plus de polars et que celui-là collectionne les récompenses. En plus Hélène en a fait un coup de cœur et pour ce qui est des polars elle en connait un rayon.
Fantasmes : les copines de classe : parce qu’il me faut bien quelques munitions pour le rendez-vous de Stephie, parce que le titre m’interpelle et que je n’ai pas souvenir d’avoir eu des copines de classe comme celles que l’on voit sur la couverture.
Journal d’un corps : parce que Mo’ et Valérie en ont fait un énorme coup de cœur et que quand elles s’y mettent toutes les deux j’ai envie de les suivre les yeux fermés.
Le lion et l’oiseau : parce que sans un album pour les petits cette liste n’aurait pas de sens et parce que Un autre endroit, mon fournisseur attitré de pépites jeunesse, l’a beaucoup aimé.
La fée carabine : parce que maintenant que j’ai mis un doigt dans l’engrenage de la saga Malaussène, je suis pris au piège.
Pendant que le roi de Prusse… : parce que Zidrou, parce que Noukette en a dit le plus grand bien (même si dès qu’elle parle de Zidrou elle perd toute objectivité) et parce que je suis persuadé que cette BD va me plaire.
Red Devils : King King : parce que j’ai eu le malheur de prêter ce CD il y a fort longtemps et que je ne l’ai jamais revu depuis. Parce que ce live (enregistré en une seule prise dans un bar de Los Angeles par un groupe qui n’aura jamais signé le moindre album studio) est un moment d’anthologie et que je voudrais absolument le retrouver.
Qui touche à mon corps je le tue : parce qu’il est écrit que je vais dévorer tout la bibliographie de Valentine Goby.