Le moine de Képhas est un roman d'espionnage de Stephano Brasi et Henri Boschetti.
Présentation de l'éditeur :Eté 2014, une raffinerie du Rhône est la cible d’un attentat terroriste méticuleusement organisé. Une seule victime mais tout le site est ravagé. Les services du Ministère de l’intérieur sont mis en alerte maximale mais les pistes sont inexistantes. Jusqu’à ce que la revendication tombe : on demande la libération d’un certain nombre de prisonniers djihadistes détenus dans les prisons françaises. Pour entrer en contact avec les commanditaires, ni la DCRI ni la DGSE n’ont les relais qu’il faut. Un seul interlocuteur peut établir le lien mais c’est un partenaire très inhabituel : le jeune Père Raphaël, officiellement détaché en France pour des études de théologie mais en réalité agent de renseignement pour les services du Vatican.
Commence alors une plongée dans les méandres secrets des réseaux de l’Église et une course contre la montre au bout de laquelle se dresse un ennemi sans pitié.
Henri Boschetti, nous raconte les Editions du Toucan, est le pseudonyme d'un ancien agent des services de renseignements français, plusieurs fois incarcéré lors de missions d'infiltration. Son expérience sur le terrain sert indéniablement le roman puisque certaines scènes nous font frémir par leur réalisme.
Dès le début du roman, le ton est donné : de l'action et encore de l'action ! S'ajoute à cela une véritable réflexion sur les tenants et les aboutissants de cette guerre sainte qui se prépare.
Comment peut-on en arriver là ? Des français bloqués, prisonniers chez eux par un couvre-feu. Une politique dure qui flirte un peu trop avec les grandes instances catholiques. Un imam extrémiste qui dirige toutes les opérations depuis une prison ... Al-Qaïda frappe fort cette fois puisque l'organisation terroriste arrive à joindre à sa cause et manipuler de nombreux musulmans français, en partie ceux situés dans les cités. J'ai un sérieux doute sur le réalisme de la chose et ose espérer qu'une infime minorité seulement est radicale et rêve d'une guerre sainte ...
Les services secrets du Vatican soutiennent le gouvernement français et offrent même les services de l'un de leurs meilleurs hommes sur le terrain. Commencent alors une guerre secrète sans merci entre les deux camps et une opération d'infiltration très mouvementée. Ceci sans compter sur les magouilles et astuces politiques pour mener à bien les missions tout en réalisant une chasse aux sorcières corrompues dans les services de renseignements français.
Le Moine de Képhas se veut réaliste en nous offrant une vision de ce qu'il pourrait subvenir dans un avenir proche. Le roman ne manque pas de rythme et se lit plutôt bien. Par contre, je n'ai pas accroché aux personnages, mise à part le personnage de Diéner qui peut intéresser par son esprit et son ingéniosité.
Présentation de l'éditeur :Eté 2014, une raffinerie du Rhône est la cible d’un attentat terroriste méticuleusement organisé. Une seule victime mais tout le site est ravagé. Les services du Ministère de l’intérieur sont mis en alerte maximale mais les pistes sont inexistantes. Jusqu’à ce que la revendication tombe : on demande la libération d’un certain nombre de prisonniers djihadistes détenus dans les prisons françaises. Pour entrer en contact avec les commanditaires, ni la DCRI ni la DGSE n’ont les relais qu’il faut. Un seul interlocuteur peut établir le lien mais c’est un partenaire très inhabituel : le jeune Père Raphaël, officiellement détaché en France pour des études de théologie mais en réalité agent de renseignement pour les services du Vatican.
Commence alors une plongée dans les méandres secrets des réseaux de l’Église et une course contre la montre au bout de laquelle se dresse un ennemi sans pitié.
Henri Boschetti, nous raconte les Editions du Toucan, est le pseudonyme d'un ancien agent des services de renseignements français, plusieurs fois incarcéré lors de missions d'infiltration. Son expérience sur le terrain sert indéniablement le roman puisque certaines scènes nous font frémir par leur réalisme.
Dès le début du roman, le ton est donné : de l'action et encore de l'action ! S'ajoute à cela une véritable réflexion sur les tenants et les aboutissants de cette guerre sainte qui se prépare.
Comment peut-on en arriver là ? Des français bloqués, prisonniers chez eux par un couvre-feu. Une politique dure qui flirte un peu trop avec les grandes instances catholiques. Un imam extrémiste qui dirige toutes les opérations depuis une prison ... Al-Qaïda frappe fort cette fois puisque l'organisation terroriste arrive à joindre à sa cause et manipuler de nombreux musulmans français, en partie ceux situés dans les cités. J'ai un sérieux doute sur le réalisme de la chose et ose espérer qu'une infime minorité seulement est radicale et rêve d'une guerre sainte ...
Les services secrets du Vatican soutiennent le gouvernement français et offrent même les services de l'un de leurs meilleurs hommes sur le terrain. Commencent alors une guerre secrète sans merci entre les deux camps et une opération d'infiltration très mouvementée. Ceci sans compter sur les magouilles et astuces politiques pour mener à bien les missions tout en réalisant une chasse aux sorcières corrompues dans les services de renseignements français.
Le Moine de Képhas se veut réaliste en nous offrant une vision de ce qu'il pourrait subvenir dans un avenir proche. Le roman ne manque pas de rythme et se lit plutôt bien. Par contre, je n'ai pas accroché aux personnages, mise à part le personnage de Diéner qui peut intéresser par son esprit et son ingéniosité.