Dark, une ombre est un roman de Sandrine Daudeville aux éditions Clément, publié uniquement au format numérique.
Présentation de l'éditeur :Il aime les femmes. La sienne, les autres, les confidentes, les voisines, les images des magazines, la symbolique, tout. Il a un travail. Des amis. Des passions. Le jour, il est un homme comme les autres. La nuit, il se transforme. Puis les jours deviennent nuits et on ne sait plus où tout a commencé : le moment où il bascule, le moment où elle le ronge. Il n'aura alors plus d'autre choix que d'être lui-même, face à ses peurs, ses doutes, sa folie. Et l'envie étrange de faire des choses qui ne se font pas. L'impression de vivre des moments qui ne lui appartiennent pas. Des souvenirs qui ne lui ressemblent pas.
Rouge. Noir.
Elle est là, dans l'ombre.
Mais qui est-elle ?
Dark, une ombre est un thriller érotique où le sexe et le sang s’entremêlent pour provoquer excitation et fureur. Nos sensations s'embrouillent dans cette histoire de faux-semblants où l'on suit Matt, un jeune homme sujet à des troubles psychiatriques.
Les diverses références à la célèbre série Dexter, que ce soit dans le roman ou même dans le titre, n'empêchent pas le roman d'avoir sa propre identité ; on est loin d'un 'Dexter like'. Dark, une ombre fait jouer tous ses personnages. Ils ont chacun un rôle bien déterminant pour faire évoluer notre personnage principal.
Tout au long de l'histoire on assiste aux cruels meurtres d'un tueur pervers qui paraît connaitre des conflits avec les femmes, lui qui n'a jamais reçu d'amour de la première d'entre elles ; sa mère. L'auteur ne néglige pas le comportement et le passé de son personnage afin de mieux le décrire, et elle le fait bien.
Quand la porte se referme il me semble apercevoir une ombre restée dehors.
Dark, une ombre est ce que l'on peut appeler un 'pur thriller' où l'identité du meurtrier n'est pas forcément ce que l'on recherche principalement. Les personnages sont bons, les dialogues inégaux et j'ai trouvé le style bien meilleur à partir de la seconde moitié du roman. On rentre bien dans l'histoire et on ressent un travail de documentation certain, parfois même un peu trop présent mais qui ne gâche en rien le rythme de l'histoire.
Dark, une ombre fait rimer amour avec manipulation et crime avec coït. C'est une sympathique découverte que je conseille aux amateurs de ce genre.
Présentation de l'éditeur :Il aime les femmes. La sienne, les autres, les confidentes, les voisines, les images des magazines, la symbolique, tout. Il a un travail. Des amis. Des passions. Le jour, il est un homme comme les autres. La nuit, il se transforme. Puis les jours deviennent nuits et on ne sait plus où tout a commencé : le moment où il bascule, le moment où elle le ronge. Il n'aura alors plus d'autre choix que d'être lui-même, face à ses peurs, ses doutes, sa folie. Et l'envie étrange de faire des choses qui ne se font pas. L'impression de vivre des moments qui ne lui appartiennent pas. Des souvenirs qui ne lui ressemblent pas.
Rouge. Noir.
Elle est là, dans l'ombre.
Mais qui est-elle ?
Dark, une ombre est un thriller érotique où le sexe et le sang s’entremêlent pour provoquer excitation et fureur. Nos sensations s'embrouillent dans cette histoire de faux-semblants où l'on suit Matt, un jeune homme sujet à des troubles psychiatriques.
Les diverses références à la célèbre série Dexter, que ce soit dans le roman ou même dans le titre, n'empêchent pas le roman d'avoir sa propre identité ; on est loin d'un 'Dexter like'. Dark, une ombre fait jouer tous ses personnages. Ils ont chacun un rôle bien déterminant pour faire évoluer notre personnage principal.
Tout au long de l'histoire on assiste aux cruels meurtres d'un tueur pervers qui paraît connaitre des conflits avec les femmes, lui qui n'a jamais reçu d'amour de la première d'entre elles ; sa mère. L'auteur ne néglige pas le comportement et le passé de son personnage afin de mieux le décrire, et elle le fait bien.
Quand la porte se referme il me semble apercevoir une ombre restée dehors.
Dark, une ombre est ce que l'on peut appeler un 'pur thriller' où l'identité du meurtrier n'est pas forcément ce que l'on recherche principalement. Les personnages sont bons, les dialogues inégaux et j'ai trouvé le style bien meilleur à partir de la seconde moitié du roman. On rentre bien dans l'histoire et on ressent un travail de documentation certain, parfois même un peu trop présent mais qui ne gâche en rien le rythme de l'histoire.
Dark, une ombre fait rimer amour avec manipulation et crime avec coït. C'est une sympathique découverte que je conseille aux amateurs de ce genre.