Auteur: Catherine Cusset
Titre Original: Une éducation catholique
Date de Parution : 21 août 2014
Éditeur : Gallimard
Nombre de pages : 144
Rentrée Littéraire 2014
Prix : 15,90€
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Quatrième de couverture : «"Remarque, je la comprends. C'est plus amusant de lire un roman que d'aller à la messe." Papa, furieux, se retourne contre maman et l'accuse de saper les fondements de ma foi. Elle rétorque qu'elle n'a rien dit de mal, que de toute façon chacun est libre de penser comme il veut, et que je suis bien capable de juger par moi-même ce qui, de la lecture d'un roman ou de la messe, est le plus amusant. "Elle n'a qu'à rester à la maison ! hurle papa. Puisque c'est comme ça, j'irai seul !" Vite je ferme mon livre, je me lève, je mets mon manteau, je suis papa.» Marie, la narratrice de La haine de la famille et d'Un brillant avenir, raconte ici les rapports qu'elle a entretenus avec la religion au cours de son enfance et de sa jeunesse, entre un père croyant et une mère athée. Elle évoque la naissance du désir à travers des passions successives, et la découverte de l'amour, vécu d'abord comme une crucifixion, puis comme une rédemption.
Quatrième de couverture : «"Remarque, je la comprends. C'est plus amusant de lire un roman que d'aller à la messe." Papa, furieux, se retourne contre maman et l'accuse de saper les fondements de ma foi. Elle rétorque qu'elle n'a rien dit de mal, que de toute façon chacun est libre de penser comme il veut, et que je suis bien capable de juger par moi-même ce qui, de la lecture d'un roman ou de la messe, est le plus amusant. "Elle n'a qu'à rester à la maison ! hurle papa. Puisque c'est comme ça, j'irai seul !" Vite je ferme mon livre, je me lève, je mets mon manteau, je suis papa.» Marie, la narratrice de La haine de la famille et d'Un brillant avenir, raconte ici les rapports qu'elle a entretenus avec la religion au cours de son enfance et de sa jeunesse, entre un père croyant et une mère athée. Elle évoque la naissance du désir à travers des passions successives, et la découverte de l'amour, vécu d'abord comme une crucifixion, puis comme une rédemption.