Detective Comics #26 : Une couronne d'effroi

► Par John Layman, Aaron Lopresti, Art thibert et Blond. 

Bon... Après Batman #26 c'est un peu la douche froide. Detective comics nous habitue toujours à des épisodes de qualité moyenne, et là j'ai eu exactement le même ressenti. rien d'extravagant, que ce soit les vilains (je crois que je fais une overdose de Man-Bat), le final qui se termine trop rapidement, les enjeux qui ne volent pas haut, où encore la dernière case qui ne fait qu'amplifier ma confusion. Pas grand chose à dire finalement, un épisode trop moyen, qui à l'inverse des numéro précédent n'est plus dessiné par Jason Fabok et donc perd beaucoup en visuel. 

VERDICT : MOYEN  

Batman & TwoFace #26 : Le grand réveil : Ignition

► Par Peter J.Tomasi, Patrick Gleason, Mick Gray, Keith Champagne ( à consommer avec modération) et John Kalisz. 

La douche chaude ( ça se dit ?) ! Depuis que la série Batman & Robin existe il n'y a pas eu beaucoup de raté, mis à part l'arc "Death of the family", et maintenant que Double face est dans les parages c'est parmi les meilleurs moment du duo Tomasi/Gleason !
On est donc avec Erin McKillen, la mafieuse Irlandaise qui se trouve être chez son meilleur ami d'enfance Bruce Wayne ! Je ne vais pas pouvoir en dire beaucoup cependant par peur de vous spoiler !
 On en apprend un peu plus sur le personnage d'Erin et son passé qui s'avère être relié très fortement à Harvey Dent, où plutôt à Double Face. Car chacun à sa version de l'histoire et les flash-back raconté par Harvey plaçait plutôt Erin en grande méchante, tandis que lorsqu'elle raconte son passé on a tendance à voir Dent comme un bel enf****. Tout ça pour vous montrer à quel point la narration de Tomasi et les dessins de Gleason permettent de créer des personnages travaillés, profond et ambigu. On respecte donc l'idée de voir les deux facettes de chaque personnages, un élément clé pour une histoire centrée sur Double-face. 

Batgirl #26 : Embuscade 

► Par Gail Simone, Daniel Sampere, Jonathan Glapion et Blond.  

Le dernier Batgirl terminait dans un souffle épique, et forcément ce numéro ci assume son rôle ! Ca castagne dur, Batgirl est à son maximum son gentil papa aussi ! Bref, on réfléchi pas tant que ça durant l'épisode mais il offre de belles scènes d'action, et de l'émotion ! Je reprocherais le fait que l'auteur cherche un peu désespérément ( et on le ressent bien avec le miroir) de donner à Batgirl un Némésis digne de ce nom, en vain.
Un bon numéro dans l'ensemble, on ressent peut être trop l'aspect "clôture" du numéro qui se presse un peu trop au dépit de la qualité. 

Detective Comics #27 : La Vieille École

► Par Gregg Hurwitz, Neal Adams et John Kalisz. 

J'aime beaucoup les hommages, mais celui-ci ne m'a pas particulièrement renversé. Je respecte l'originalité du scénario, qui marque bien l'évolution du personnages, ainsi que les dessins qui s'étoffe un peu plus à chaque saut entre les époques. Pourtant, la comparaison avec les numéro suivants (je tease un peu ma review oui) me fait dire que ce numéro est timide, on en sort pas très charmé, ce qui est souvent le but de ce genre de numéro court. D'ailleurs, une autre constatation, c'est l'impression que j'ai eu de ne pas suivre Batman tout du long de son évolution, comme si on s'était arrêté aux années 90. Mais je suis plutôt sévère avec ce numéro
qui se lit facilement et avec plaisir. 

Detective Comics #27 : La belle époque    

► Par Peter J.Tomasi, Ian Bertram et David Stewart. 

Quel charme ! Un petit morceaux de beauté, l’hommage aux œuvres de Miller où encore de Morrison est flagrant, mais par delà ce scénario simpliste mais pas pour autant inintéressant, on savoure (c’est le mot qui convient ) les dessins et les couleurs de Bertram et Stewart ! De la fantaisie, des courbes magiques, cela parait parfois abstrait, incohérent, mais tellement beau et sympathique ! J’ai adoré, un bel hommage, un travail d’artiste ! 

VERDICT : TRÈS (TRÈS) BON 

Detective Comics #27 :Le Sacrifice

► Par Mike W.Barr et Guillem March 

Toujours la même idée, un postulat simple : Et si Batman n’existait pas ? La question est bien posée, la narration fait référence aux années 70, notamment aux épisodes « The Brave and the bold ». Les dessins quant à eux, moins originaux que les précédents certes, reste très agréable à regarder, les ombres sont belles ainsi que les couleurs ! Beau numéro !

Detective Comics #27 :Vingt-sept 

► Par scott Snyder, Sean Murphy, Mike Marts et Katie Kubert.

Et voilà celui que j’attendais le plus ! Ici, le dicton : « le meilleur pour la fin » s’avère être vrai, Scott Snyder offre une histoire qui nous plonge de le où les futurs, et pose la question de la relève de Batman (Car Terry McGinnis ça suffit pas !). On traverse les âges, rencontre deux personnages attachants pour le peu de pages leur étant accordés, et enfin : LES DESSINS ! J’avais adoré Murphy sur  Punk Rock Jesus , alors ici, en coloré et dans un univers qui me parle mieux, j’ai adoré de bout en bout !