Un grand merci à Arthur Ténor et aux éditions Scrineo !
Éditions Scrineo (paru le 15/01/2015) – 291 pages
Mot de l’éditeur :
Il aurait dû mourir sur le champs de bataille de Verdun, en 1916, mai sen 2016 il est toujours de ce monde, avec la même apparence de jeune homme de 17 ans. Gabriel Lambertini n’est pas un vampire, encore moins un monstre du genre lycanthrope. Il est un être humain de chair et de sang, dont le destin est figé entre la vie et la mort, et l’âme perpétuellement assoiffée d’amour. Gabriel est un non-mort qui n’aspire qu’à une chose…vivre…ou mourir ! L’heure du choix approche.
Mon avis :
Dans le premier chapitre, nous suivons notre héros Gabriel durant la guerre et on l’on apprend comment il est devenu un non-mort. Ensuite, nous le retrouvons en 2016 de retour à Paris, où il décide de retourner au lycée, car il a besoin d’être aimé mais son état par contre ne lui permet pas de donner de l’amour sinon, il souffre d’atroces douleurs dans le corps. Au début, tout se passe comme il le désire, il arrive à se faire apprécier des autres élèves et les filles sont sous son charme énigmatique. Mais, voilà qu’un jour une élève est retrouvée morte : accident ou meurtre ? l’enquête commence et le lecteur est plongé dans une intrigue palpitante. Quant aux protagonistes, ils sont à la fois attachants mais aussi impénétrables. Je ne peux vous en dire davantage de peur de trop vous dévoiler l’histoire.
Avec « Le Roman d’un non-mort », Arthur Ténor mêle avec brio le fantastique, le réaliste, l’amour et l’enquête policière, ce qui donne un roman palpitant et original que l’on ne peut plus lâcher et de plus, l’intrigue est bien recherchée et bien ficelée. Bref, j’ai été tenu en haleine jusqu’à la dernière page dont la fin prévient d’une suite.
Aussi, je tiens à préciser, qu’il se lit très vite car les chapitres sont courts, la police des caractères est fort bien lisible et surtout, il n’y pas de temps morts.
En conclusion, ce livre est un véritable coup de cœur, j’ai adoré ce monde dans lequel l’auteur m’a transporté et j’en redemande !
Je n’ai qu’un conseil à vous donner : lisez-le !
Le mystère est un paradoxe, c’est pourquoi il ne saurait être entendu par la logique d’un raisonnement.
Aimer, c’est donner de la vie. Se faire aimer, c’est en absorber.
Admettre que l’impossible puisse exister est moins risqué que le contraire.