In my Mailbox # 73

In my Mailbox # 73
Mes réceptions du 26/01 au 31/01 :
In my Mailbox # 73
À à peine 20 ans, la vie de Kacey bascule dans la tragédie : ses parents, sa meilleure amie et son copain meurent dans un accident de voiture. Elle est la seule survivante de la famille, avec sa sœur Livie qui n'était heureusement pas avec eux ce jour-là. Alors qu'elles sont confiées à la garde d'un oncle et d'une tante peu scrupuleux, Kacey décide de prendre sa vie et celle de sa sœur, en main. Ensemble elles vont tenter de se reconstruire à l'autre bout du pays, en Floride.Sortie prévue le 5 févrierIn my Mailbox # 73

Dans l'Angleterre du début du XIXe siècle, le petit John Huffam, élevé dans un village perdu, comprend que sa mère, pauvre parmi les pauvres, est mystérieusement apparentée aux châtelains du lieu. Dès lors, il va consacrer sa vie à percer le secret de ses véritables origines et ne tarde pas à découvrir la cruauté qui fonde les castes sociales et qui déchire les êtres.In my Mailbox # 73 Lundi 2 Mai 2011.
Toutes les télévisions du monde annoncent le décès de l’ennemi public numéro 1 des États-Unis.
Ce même jour, David Goldman, agent de stars à New York, a rendez-vous avec son Amour de jeunesse à l’aéroport de Newark Liberty, New Jersey. Une femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer et qu’il n’a pas revue depuis plus de dix ans.
Alors qu’elle se trouve encore à Paris, embarquée dans un vol Air France à destination de New York, Caroline lui envoie un message pour le prévenir du décollage imminent de l’avion. Ce dernier arrive bien à heure prévue, mais elle… n’arrivera jamais.
Merci à l'auteurIn my Mailbox # 73 Escroc, voleur, menteur, tricheur… Les adjectifs n’ont jamais manqué pour définir Martin Legrand.
Égoïste, vénale, jalouse, sournoise, des épithètes qui ont toujours collé à la peau de Jane Stewart. Mais cette fois, elle est prête à se faire pardonner. Ils reprendront les choses là où ils les avaient laissées. Avant l'accident, avant que leur vie ne vole en éclats.
Cadeau de Monsieur

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Tel un portraitiste qui croque les visages, Sandrine croque les âmes, simplement avec malice, via l’art de la rime, de l’alexandrin, du sizain.
Vous découvrirez, avec un vocabulaire quelque peu argotique, ces personnages, ces atmosphères qui font le quotidien de notre monde rural actuel. Ainsi, vous aurez un autre regard sur le tabellion, le facteur, le gindre, le médecin de campagne, le tribun, le bistrotier ou la maison de retraite…
Cette ode à la campagne décrite ici avec fraîcheur, légèreté, gouaille et révérence est aussi drôle qu’émouvante.
Vous vous y retrouverez, car on respire tous le même air ; Ici, vous en aurez la chanson.
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Ce roman est inspiré d’une histoire vraie. Les événements se déroulent en Argentine, à Buenos Aires. Nous sommes en août 1987, c’est l’hiver. Les saisons ne sont pas les mêmes partout.  Les êtres humains, si.TrocIn my Mailbox # 73
La cité du ciel est en plein déclin. Les robots, jadis fidèles serviteurs, régressent jusqu’à devenir des machines stupides ou de terrifiants prédateurs. Saxe est un artiste qui survit en travaillant sur les golems actionnés par magie. Dresde est une automate qui n’a connu que le luxe avant que son maître l’abandonne. Tout les sépare, et pourtant ils vont partager un rêve commun : s’enfuir de la forteresse volante. Traqués par un tueur mécanique qui écorche les vivants pour voler leur peau, ils se lancent dans une course peut-être sans espoir : retrouver la mythique porte ouvrant sur la liberté.Troc

In my Mailbox # 73  Elle est actrice. Lui écrivain.
Elle s'appelle Mia. Lui Paul.
Elle est anglaise. Lui américain.
Elle se cache à Montmartre. Lui vit dans le Marais.
Elle a beaucoup de succès. Lui pas vraiment.
Elle est même une star. Mais lui ne le sait pas.
Elle se sent seule. Lui aussi.
Il la fait rire. Elle enchaîne les maladresses.
Elle ne doit pas tomber amoureuse. Lui non plus.

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La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Troc


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