Surrender, tome 1 : Capitulation
Serie : Surrender
Genres : Erotique
Editeur : Marabout
Collection : Red Velvet
Publication: 22/ 10/ 2014
Edition: Papier
Pages : 352
Rating:
- Chroniqué par NINIE
Après avoir divorcé, Raffaello Palazzo est devenu un homme sans coeur, il prend tout ce qu'il veut et fait tout pour l'obtenir si besoin, que ce soit dans les relations privées ou dans les affaires. Il est sans pitié et mais surtout il ressent le besoin de posséder.
Arianna Harlow est une jeune femme, qui a toujours consacré tout son temps à ses études et pour qui tout a basculé un jour, elle se retrouve démunie et sans le sous. Elle va postuler à une annonce sans se douter de ce qui l'attend. Aussi est-elle surprise quand Raffaello lui propose d'être payée pour être sa maîtresse.
Vous avez donc d'un côté le PDG riche, et qui n'hésite pas à payer pour se trouver une poule de luxe et la jeune femme introvertie, qui a très peu d'expériences niveau relationnel et sexuel.
Quand les deux se rencontrent ça fait des étincelles. Vous pourrez découvrir ça avec le fait d'avoir une alternance de point de vue pendant la lecture, que j'ai bien aimé même si par moment j'ai eu l'impression d'être un peu perdue dans l'histoire. Je pense que s'il y avait eu une précision de l'alternance j'aurais eu moins de mal à me situer. Je n'ai pas vraiment pu m'imaginer le temps qui passait, j'avais l'impression que c'était trop rapide, sans forcément avoir de précision sur le temps qui s'écoulait. Les deux personnages n'ont fait que se chercher et se repousser à tout bout de champ. Ari ne se laisse pas berner par l'argent de Raff et j'ai vraiment apprécié cette partie, même si au final on apprend que raff manigance dans son dos.
Et puis d'un seul coup, un tireur arrive dont ne sait où canarde les deux personnages, j'avoue ne pas avoir su d'où ça venait et j'ai été un peu surprise. Mais ça ne m'empêchera de lire le second opus, car c'est tout de même une lecture qui m'a été très agréable et que c'est un livre qui se lit rapidement.
En un mois, elle a envoyé plus de cent candidatures, et seuls trois employeurs l’ont rappelée. Le premier poste était dans une banque. Le directeur l’a contactée quelques jours après l’entretien, pour lui annoncer que le poste était pourvu. Le deuxième se trouvait dans une compagnie d’assurances, qui a jugé son expérience insuffisante.
Quant au troisième job… eh bien, elle aurait bien du mal à décrire cette procédure de recrutement. L’annonce disait simplement ceci :
Poste à plein-temps à pourvoir chez Palazzo Corporation. La candidate pourra être amenée à travailler sept jours par semaine, horaires extensibles. Elle devra être célibataire, libre de tout engagement – ni contraintes familiales, ni autres emplois à côté, ni études en cours. Salaire : 100 000 dollars par an plus frais. Prière de passer déposer le dossier de candidature en personne au siège de l’entreprise.
Tout en jugeant peu probable de décrocher le gros lot, Arianna s’est dit qu’elle n’avait rien à perdre. Aussitôt, elle avait remanié son CV, sur lequel ne figurait pas grand-chose : deux ans dans la pizzeria de son quartier, suivis de quatre ans ou presque de secrétariat à temps partiel au département d’histoire de l’université Stanford. Puis plus rien – un trou de six mois pendant lequel elle s’est occupée de sa mère et a géré les répercussions de cette nuit de cauchemar.