C'est lundi, que lisez-vous? #70

Par Stéphanie @Sariahlit

" Aventureuse Constance "

" Liaisons périlleuses au Costa Rica 2 "

" Sexe, diamants et plus si affinités "

" La surface de réparation "


Quand Lord Spencer Fitzwilliam arrive à Paris pour résoudre une affaire de meurtre, il s'imagine expédier rapidement cette corvée. C'est sans compter Rosaline Leprince et son engin diabolique plus communément appelé bicyclette. Ce qui aurait dû être une mission en solo devient le pire cauchemar de l'anglais. Il en viendrait à se demander si un tête-à-tête avec la créature tueuse de danseuses de cabaret ne vaut pas mieux que la compagnie de la parisienne excentrique...

Londres, années 60. Jonathan et Roger Maguire sont deux frères très unis malgré leurs différences. Le plus jeune, Jonathan, protège farouchement son aîné, Roger, garçon simple d'esprit, obsédé par un étrange élevage d'insectes auquel il consacre tout son temps libre. Un hobby exigeant pour ce garçon à qui les gestes de la vie quotidienne les plus banals demandent un immense effort de concentration. Et pourtant, contre toute attente, Roger maîtrise absolument et sans la moindre difficulté cet univers et les milliers de créatures qui y vivent. Il leur fournit de la terre et de la nourriture et règne en maître sur leur vie et leur mort. Ce statut presque divin sur ce monde étrange et complexe semble lui procurer des accès de lucidité qui impressionnent son entourage. Roger, qui a l'âge mental d'un garçon de huit ans, n'est peut-être pas aussi limité qu'on le croit, et Jonathan commence à avoir des doutes sur les capacités réelles de son frère. Les années passent ... Après une violente dispute avec Harriet, son épouse, qu'il soupçonne de le tromper, Jonathan perd connaissance. Lorsqu'il se réveille, il a du sang sur les mains et le cadavre d'Harriet gît sur le sol de la cuisine. De toute évidence, il l'a assassinée ... Mais devant l'attitude bizarre de Roger, qui assure être prêt à tout pour le bien de son frère, Jonathan se prend à douter. Et si les apparences étaient trompeuses ...