Bonjour à tous, aujourd’hui je vous retrouve avec une lecture palpitante et si connue : The book of Ivy. L’une des meilleures ventes ce mois-ci. Il faut dire que Mélanie Delon nous a offert une très belle illustration, à mon avis bien plus harmonieuse que la version originale. Ce petit bijou à été traduit par Anaïs Goacolou et il faut dire qu’un superbe travail de traduction à été faite. J’ai perçue parfaitement l’ambiance et les sentiments sans avoir l’impression que ma lecture en français gâchait celle originale. Pour la petite histoire de l’auteur Amy Engel que je trouve assez intéressante, Amy était tout d’abord Avocate mais n’a pas trouvé ça aussi drôle que dans les films.
Ivy c’est une jeune fille destiné à une seule chose, tuer Bishop, le fils du président pour que son père puisse prendre la place du président actuel. Pour cela elle épouse le dit Bishop et ne dispute pas les ordres de son père et sa grande sœur.
Pour être sincère, j’attendais vraiment beaucoup de ce roman, heureusement, je n’ai pas été déçue. L’écriture est sévère tout en étant intense et exprime parfaitement les ressentis des personnages. Sauf pour Bishop qui est très mystérieux. Un personnage masculin comme on les aimes.
L’histoire est basée sur un fait important : Une fin du monde et l’auteur en a montré les conséquences (peut être pas assez nombreuses à mon goût) comme le rationnement, l’électricité ou les transports. J’ai bien aimé cette dystopie parce qu’elle n’a pas séparé le monde en deux clans bien distincts mais en a fait une chose plus possibles. Les personnages sont à première vue horripilants mais ensuite, une fois qu’on en apprends davantage, on ne peut que ressentir de l’empathie à leur égard. Bishop est pour moi quelqu’un de très fort aux secrets charmants. La romance est douce et chaleureuse dans cet univers glacial. Le roman nous fait prendre conscience d’une douloureuse leçon de morale : Rien n’est totalement noir ni blanc, il peut exister du gris.
Il s’agit bien d’un thriller Psychologique cruel qui nous tient en allène tout le long du roman. On ne peut pas le lâcher avant de savoir. La fin est l’une de celle que l’on voudrai récrire, qui nous convient pas parce que nous refusons d’admettre que c’est normal que ça se finisse ainsi.
Je sauterais sur le tome deux dès sa sortie pour pouvoir être rassuré que le monde n’est pas aussi cruel que ce roman le laisse paraître. Une très belle découverte et un nouveau Boyfriend book est apparut, Bishop, veux-tu m’épouser?
4.5/5