Voilà un titre que j’attendais avec impatience. Déjà parce qu’Elektra, personnage fascinant dont j’ai enfin découvert les origines grâce aux deux premiers tomes de Daredevil par Frank Miller. Mais aussi de par la présence d’Haden Blackman au scénario, excellent sur Batwoman, et celle de Del Mundo au dessin, véritable poète avec ses crayons. Et il faut bien reconnaître que les titres non tête d’affiche, comme Ms Marvel, Black Widow, Daredevil, proposés par Panini sont de vraies petites perles à lire.
La nouvelle mission d’Elektra consiste à retrouver Cape Crow, un célèbre tueur. Contrairement à ses habitudes, elle doit le ramener vivant… Une aventure qui s’annonce des plus périlleuses pour la redoutable ninja grecque.Découvrez la nouvelle saga d’Elektra signée Haden Blackman (Batwoman) et Michael Del Mundo (Guardians of the Galaxy).(Contient les épisodes #1 à 5)Et dès les premières doubles pages, Michael Del Mundo nous éclabousse de son talent. En à peine seulement quelques pages, il nous raconte l’histoire, la genèse d’Elektra dans un bal de couleurs pastelles, presque nostalgiques et l’on voit la vie d’Elektra défiler avec une grâce poétique qui nous emporte. Tout le tome semble avoir été écrit pour l’artiste philippin. Un ennemi capable d’aspirer les faits de vie qui font qui nous sommes, Lèvres Ensanglantées, ou encore une île permettant à Del Mundo de laisser totalement libre court à son imagination. C’est tout simplement beau, un véritable voyage onirique.
Mais de tels dessins, cela peut avoir un inconvénient, et pas des moindres ici. L’histoire d’Haden Blackman est complètement occultée, effacée par le travail de Michael Del Mundo. Le scénariste, parti avec fracas de chez DC Comics suite à un désaccord sur le titre Batwoman et le mariage de cette dernière avec Maggie Sawyer. Il faut dire également que l’histoire proposée est assez classique, bien qu’efficace.
Blackman ne se concentre que sur un élément d’Elektra, c’est une tueuse. Elektra est en pleine introspection. Sa vie est tellement loin de ce à quoi elle pouvait aspirer étant enfant, avant que les drames ne s’enchaînent dans sa vie. Elle décide de prendre un nouveau contrat, loin de New York et surtout différent de tous ceux honorés jusqu’à maintenant, elle ne va pas tuer mais faire en sorte de garder quelqu’un en vie, un tueur de légende : Cape Crow !
Mais ils sont nombreux à être sur les traces de Cap Crow, la Guilde des Assassins, notamment, désireuse de se débarrasser de ce tueur. Et comme si cela ne suffisait pas, Elektra est la cible de Lèvres Ensanglantées, bien déterminé à « goûter » à nouveau à Elektra…
Ces premiers épisodes ne sont pas de tout repos pour Elektra, elle va avoir fort à faire pour retrouver Cap Crow et pour se débarrasser des différents assassins poursuivants la même cible. Se créant d’ailleurs, parmi eux, un nouvel ennemi mortel, bien décidé à se venger de la belle tueuse aux saïs. Intéressant à lire donc, surtout les parties narratives où Elektra parle de sa vie, s’interroge. Mais à chaque fois, ce qu’il reste, ce sont les dessins de Del Mundo.
Bref, ce premier tome d’Elektra n’est pas génial niveau scénario, mais est plus que parfait, plus qu’exceptionnel au niveau des dessins de Michael Del Mundo. J’aurais apprécié une histoire tout aussi poétique que ne le sont les dessins. Histoire que ce voyage soit encoure plus fabuleux.
La nouvelle mission d’Elektra consiste à retrouver Cape Crow, un célèbre tueur. Contrairement à ses habitudes, elle doit le ramener vivant… Une aventure qui s’annonce des plus périlleuses pour la redoutable ninja grecque.Découvrez la nouvelle saga d’Elektra signée Haden Blackman (Batwoman) et Michael Del Mundo (Guardians of the Galaxy).(Contient les épisodes #1 à 5)Et dès les premières doubles pages, Michael Del Mundo nous éclabousse de son talent. En à peine seulement quelques pages, il nous raconte l’histoire, la genèse d’Elektra dans un bal de couleurs pastelles, presque nostalgiques et l’on voit la vie d’Elektra défiler avec une grâce poétique qui nous emporte. Tout le tome semble avoir été écrit pour l’artiste philippin. Un ennemi capable d’aspirer les faits de vie qui font qui nous sommes, Lèvres Ensanglantées, ou encore une île permettant à Del Mundo de laisser totalement libre court à son imagination. C’est tout simplement beau, un véritable voyage onirique.
Mais de tels dessins, cela peut avoir un inconvénient, et pas des moindres ici. L’histoire d’Haden Blackman est complètement occultée, effacée par le travail de Michael Del Mundo. Le scénariste, parti avec fracas de chez DC Comics suite à un désaccord sur le titre Batwoman et le mariage de cette dernière avec Maggie Sawyer. Il faut dire également que l’histoire proposée est assez classique, bien qu’efficace.
Blackman ne se concentre que sur un élément d’Elektra, c’est une tueuse. Elektra est en pleine introspection. Sa vie est tellement loin de ce à quoi elle pouvait aspirer étant enfant, avant que les drames ne s’enchaînent dans sa vie. Elle décide de prendre un nouveau contrat, loin de New York et surtout différent de tous ceux honorés jusqu’à maintenant, elle ne va pas tuer mais faire en sorte de garder quelqu’un en vie, un tueur de légende : Cape Crow !
Mais ils sont nombreux à être sur les traces de Cap Crow, la Guilde des Assassins, notamment, désireuse de se débarrasser de ce tueur. Et comme si cela ne suffisait pas, Elektra est la cible de Lèvres Ensanglantées, bien déterminé à « goûter » à nouveau à Elektra…
Ces premiers épisodes ne sont pas de tout repos pour Elektra, elle va avoir fort à faire pour retrouver Cap Crow et pour se débarrasser des différents assassins poursuivants la même cible. Se créant d’ailleurs, parmi eux, un nouvel ennemi mortel, bien décidé à se venger de la belle tueuse aux saïs. Intéressant à lire donc, surtout les parties narratives où Elektra parle de sa vie, s’interroge. Mais à chaque fois, ce qu’il reste, ce sont les dessins de Del Mundo.
Bref, ce premier tome d’Elektra n’est pas génial niveau scénario, mais est plus que parfait, plus qu’exceptionnel au niveau des dessins de Michael Del Mundo. J’aurais apprécié une histoire tout aussi poétique que ne le sont les dessins. Histoire que ce voyage soit encoure plus fabuleux.