Dans sa grande tradition de colonisation, l’Humanité s’est attaquée à d’autres planètes, minant et épuisant les ressources naturelles qu’elle rencontre sur son passage et, accessoirement, en laissant derrière elle des kyrielles de mondes inertes, sans vie… Abram Pollux, notre héros, va connaître un destin peu ordinaire sur une planète désolée où son vaisseau spatial s’écrase violemment.C’est quand il débarque dans une ville fantôme qu’il comprend véritablement le sens de sa nouvelle mission. Son épopée survivaliste se transformera alors en véritable quête d’Humanité…(Contient les épisodes #1 à 5)Que dire, que dire ? Loin de moi l’idée de dire que je n’ai pas aimé ce premier tome de Drifter, mais j’ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans. Et pourtant, graphiquement, c’est une claque monstre d’entrée ! Nic Klein nous en met plein la vue, de fantastiques décors pour une nouvelle planète, des créatures amphibiennes, des êtres se nourrissant d’orage, des humains au look rappelant les westerns à la Clint Eastwood avec une pointe de Mad Max. Des décors qui nous font voyager, une action merveilleusement bien retranscrite et des couleurs chatoyantes ! Mon dieu ces éclairs !Mais si ce flux d’informations graphiques est un régal pour nos yeux, il est plutôt indigeste au niveau scénaristique.L’action démarre après le crash de Pollux sur cette nouvelle planète. Seul rescapé, il découvre alors la faune et la flore de cette planète inconnue. Et nous découvrons tout cela en même temps que lui. Et alors que n’importe qui dans son cas, je pense, chercherais un moyen de partir, de communiquer avec sa planète, lui va aller travailler, va se mêler à la foule locale et chercher à se venger de celui lui ayant tiré dessus… Sans que le personnage de Polluxne soit approfondi, travaillé. On ne sait rien de ce personnage.Aussi surprenant que cela puisse paraître, le personnage de Pollux ne nous offre rien. Comme l’impression que le personnage principal est la planète et non Abram Pollux. D’ailleurs, hormis esthétiquement, aucun personnage ne se démarque dans ce premier tome. On a l’impression d’être un rescapé nous aussi et de découvrir un nouveau monde. Assez déroutant. Et le cliff final en rajoute encore davantage !
Dans sa grande tradition de colonisation, l’Humanité s’est attaquée à d’autres planètes, minant et épuisant les ressources naturelles qu’elle rencontre sur son passage et, accessoirement, en laissant derrière elle des kyrielles de mondes inertes, sans vie… Abram Pollux, notre héros, va connaître un destin peu ordinaire sur une planète désolée où son vaisseau spatial s’écrase violemment.C’est quand il débarque dans une ville fantôme qu’il comprend véritablement le sens de sa nouvelle mission. Son épopée survivaliste se transformera alors en véritable quête d’Humanité…(Contient les épisodes #1 à 5)Que dire, que dire ? Loin de moi l’idée de dire que je n’ai pas aimé ce premier tome de Drifter, mais j’ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans. Et pourtant, graphiquement, c’est une claque monstre d’entrée ! Nic Klein nous en met plein la vue, de fantastiques décors pour une nouvelle planète, des créatures amphibiennes, des êtres se nourrissant d’orage, des humains au look rappelant les westerns à la Clint Eastwood avec une pointe de Mad Max. Des décors qui nous font voyager, une action merveilleusement bien retranscrite et des couleurs chatoyantes ! Mon dieu ces éclairs !Mais si ce flux d’informations graphiques est un régal pour nos yeux, il est plutôt indigeste au niveau scénaristique.L’action démarre après le crash de Pollux sur cette nouvelle planète. Seul rescapé, il découvre alors la faune et la flore de cette planète inconnue. Et nous découvrons tout cela en même temps que lui. Et alors que n’importe qui dans son cas, je pense, chercherais un moyen de partir, de communiquer avec sa planète, lui va aller travailler, va se mêler à la foule locale et chercher à se venger de celui lui ayant tiré dessus… Sans que le personnage de Polluxne soit approfondi, travaillé. On ne sait rien de ce personnage.Aussi surprenant que cela puisse paraître, le personnage de Pollux ne nous offre rien. Comme l’impression que le personnage principal est la planète et non Abram Pollux. D’ailleurs, hormis esthétiquement, aucun personnage ne se démarque dans ce premier tome. On a l’impression d’être un rescapé nous aussi et de découvrir un nouveau monde. Assez déroutant. Et le cliff final en rajoute encore davantage !