Un grand merci aux éditions Oskar !
Éditions Oskar (2015), collection : Aventures – 89 pages
Mot de l’éditeur :
Quoi de plus naturel que de vouloir aller à l’école avec des enfants de son âge ? Mais c’est impossible quand on s’appelle Falbala et qu’on est la fille d’une très méchante sorcière. Les enfants doivent-ils se résigner à un destin écrit par avance, ou pourrait-on d’un coup de baguette magique tout changer ? Falbala, qui ne connaît pas la méchanceté, va vouloir découvrir une autre vie, loin des sorts maléfiques et des chaudrons malodorants auxquels elle est condamnée. Mais attention : même une gentille sorcière, il ne faut pas trop l’énerver…
Mon avis :
Falbala est une petite sorcière mais qui contrairement à sa mère Karaboss d’Aime-Hâte, elle ne ferait pas de mal à une mouche. Cette petite fille sorcière souhaite aller à l’école comme tout les enfants zumains mais pour sa mère, il est hors de question qu’elle se mêle à eux. Mais Falbala, décide quand même de déroger à la règle et apprend même quelques tours de magie pour épater ses amis, ses petites plaisanteries à coup de baguette magique m’ont bien fait sourire. On ne sait pas si sa mère se doute de quelque chose ou pas, mais celle-ci va lui demander un jour de relever un défi, remettant ainsi en cause le choix qu’elle a fait.
J’ai beaucoup aimé le vocabulaire que l’auteure a utilisé dans cette histoire car il est plein d’humour, surtout quand il s’agit de parler du chat noir de Karaboss. Bref, il faut savoir qu’Erin Ardfeel publie là son premier roman et, c’est assez prometteur.
En conclusion, c’est un bon petit roman assez drôle qui démontre jusqu’où l’on est prêt à aller pour réaliser son désir.
Nous les enfants, nous n’avons aucun droit, sauf de rêver au monde où on aimerait vivre.
Les affaires de sorcières, c’est comme les brosses à dents des zumains : ça ne se prête pas.