Une putain d'histoire est le nouveau roman de Bernard Minier paru le 23 Avril chez XO éditions.
Présentation de l'éditeur :Une île boisée au large de Seattle…
« Au commencement est la peur.
La peur de se noyer.
La peur des autres,
ceux qui me détestent,ceux qui veulent ma peau.
Autant vous le dire tout de suite :
Ce n’est pas une histoire banale. Ça non.
c’est une putain d’histoire.
Ouais, une putain d’histoire… »
Bonne nouvelle pour les amateurs de polar français, l'auteur de Glacé, Le Cercle ou encore le très réussi N'éteins pas la lumière revient pour nous surprendre à nouveau dans un tout autre style. Cette fois, c'est la première personne qu'il utilise pour nous narrer son histoire, sa putain d'histoire. C'est dans la peau d'un jeune homme de seize ans qu'il se faufile ; Henry, élevé par deux femmes, France et Liv.Henry est un adolescent comme les autres. Il a une petite amie, Noémie, il va au lycée et a une super bande de copains. En plus, Henry et les autres vivent sur une des îles au large de Seattle, un endroit, d'après ce que l'auteur nous en fait ressentir, qui a l'air très agréable. Mais Henry a un passé qu'il connait mal ... un passé dont il vaut mieux ne rien savoir.
Au départ, le choix de la première personne surprend de la part de Bernard Minier, lui a qui une si belle plume. Mais on est vite conquis par son personnage et l'histoire improbable dans laquelle il nous immerge. Et il faut dire que pour un adolescent de seize ans, il s'exprime plutôt bien.Le pauvre Henry va voir sa vie bouleversée le jour où un meurtre se produit sur son île et qu'il se retrouve être l'un des principaux suspects. Avec sa bande de potes, ils décident alors de mener l'enquête pour identifier le véritable assassin. Ils ne seront pas au bout de leurs surprises et vont devoir déterrer quelques secrets bien enfouis sur cette île pour pouvoir avancer.
Tout au long de l'histoire, des pièces du puzzle s'assemblent et on peut imaginer de multiples scénarios possibles. Mais à chaque nouveau chapitre nos espoirs s'effondrent et on se retrouve bien obligé de revoir toute notre réflexion. Évidemment ce n'est qu'à la fin que l'on découvre toute la vérité de cette putain d'histoire étonnante. Captivant et surprenant, Une putain d'histoire est un roman dont on a du mal à décrocher. Les personnages sont tous attachants mais on sent bien qu'il faut se méfier de chacun d'entre eux. Il règne tout au long de l'histoire une ambiance chaleureuse qui nous ensorcelle et fait de nous l'un des habitants de cette mystérieuse île. Et plus les pages défilent et moins l'on souhaite que la fin approche.Bernard Minier devient un auteur incontournable du polar français. Il l'avait déjà confirmé avec ses précédents romans mais, avec Une putain d'histoire, il montre qu'il peut toujours nous surprendre !
Présentation de l'éditeur :Une île boisée au large de Seattle…
« Au commencement est la peur.
La peur de se noyer.
La peur des autres,
ceux qui me détestent,ceux qui veulent ma peau.
Autant vous le dire tout de suite :
Ce n’est pas une histoire banale. Ça non.
c’est une putain d’histoire.
Ouais, une putain d’histoire… »
Bonne nouvelle pour les amateurs de polar français, l'auteur de Glacé, Le Cercle ou encore le très réussi N'éteins pas la lumière revient pour nous surprendre à nouveau dans un tout autre style. Cette fois, c'est la première personne qu'il utilise pour nous narrer son histoire, sa putain d'histoire. C'est dans la peau d'un jeune homme de seize ans qu'il se faufile ; Henry, élevé par deux femmes, France et Liv.Henry est un adolescent comme les autres. Il a une petite amie, Noémie, il va au lycée et a une super bande de copains. En plus, Henry et les autres vivent sur une des îles au large de Seattle, un endroit, d'après ce que l'auteur nous en fait ressentir, qui a l'air très agréable. Mais Henry a un passé qu'il connait mal ... un passé dont il vaut mieux ne rien savoir.
Au départ, le choix de la première personne surprend de la part de Bernard Minier, lui a qui une si belle plume. Mais on est vite conquis par son personnage et l'histoire improbable dans laquelle il nous immerge. Et il faut dire que pour un adolescent de seize ans, il s'exprime plutôt bien.Le pauvre Henry va voir sa vie bouleversée le jour où un meurtre se produit sur son île et qu'il se retrouve être l'un des principaux suspects. Avec sa bande de potes, ils décident alors de mener l'enquête pour identifier le véritable assassin. Ils ne seront pas au bout de leurs surprises et vont devoir déterrer quelques secrets bien enfouis sur cette île pour pouvoir avancer.
Tout au long de l'histoire, des pièces du puzzle s'assemblent et on peut imaginer de multiples scénarios possibles. Mais à chaque nouveau chapitre nos espoirs s'effondrent et on se retrouve bien obligé de revoir toute notre réflexion. Évidemment ce n'est qu'à la fin que l'on découvre toute la vérité de cette putain d'histoire étonnante. Captivant et surprenant, Une putain d'histoire est un roman dont on a du mal à décrocher. Les personnages sont tous attachants mais on sent bien qu'il faut se méfier de chacun d'entre eux. Il règne tout au long de l'histoire une ambiance chaleureuse qui nous ensorcelle et fait de nous l'un des habitants de cette mystérieuse île. Et plus les pages défilent et moins l'on souhaite que la fin approche.Bernard Minier devient un auteur incontournable du polar français. Il l'avait déjà confirmé avec ses précédents romans mais, avec Une putain d'histoire, il montre qu'il peut toujours nous surprendre !