Anne a de gros problèmes d'argent, mais se faire payer pour jouer la petite amie parfaite n'était pas une bonne idée, peu importe que Mal soit le batteur des Stage Dive. Maintenant qu'elle n'est plus libre, son meilleur ami Reece lui déclare sa flamme. Si seulement l'attraction entre Mal et Anne n'était pas si forte, au-delà du simple arrangement...
Anne est la voisine de Lauren (la meilleure amie d'Evie) quand elle rentre chez elle, elle trouve son appartement vidé. Il reste juste quelques affaires qui lui appartiennent. Sa coloc , Sky mais aussi amie depuis longtemps est partie et elle lui laisse les charges de l'appartement à payer.De plus Sky doit déjà pas mal d'argent à Anne.Pour lui changer les idées Lauren lui propose de l'accompagner à une soirée chez David et Evie.Pas facile d'aller à une soirée quand on connaît personne et encore moins quand on va chez une rock star dont on est fan.
Anne est une fille gentille qui aide tout le monde. C'est la première à être là. Mais elle se fait souvent avoir. Elle travaille dur pour payer les études à sa soeur Lizzie. C'est elle qui l'a élevé. Elle n'a pas une famille avec des parents pour l'épauler et sa relation avec sa mère est plutôt difficile. Elle travaille dans une librairie avec Reese son meilleur ami mais aussi patron. Elle est folle de lui depuis qu'elle le connaît et il lui raconte toutes ses aventures et il ne l'a pas remarqué jusqu'à que Mal va rentrer en jeu.
Anne n'en croit pas ses yeux quand elle croise pour la première fois Mal sur le balcon. C'est son préféré du groupe. Elle était complètement fan de Mal quand elle était ado. Il lui tend une bière et elle tremble tellement elle n'y croyait pas. Elle est complètement déstabilisé.Mal est un garçon au cheveux blond long. Il est le bad boy bien bâti par excellence, bras musclé, tatouage, gonflé à bloc, toujours le sourire.
Mal est direct, drôle, prétentieux,franc, il dit ce qu'il pense et s'en donne à coeur joie pour déstabiliser Anne. Il est plutôt maladroit avec les filles. Il va pousser à bout Anne.Il est beau, célèbre, riche sauf qu'il ne parait pas pour autant heureux. L'argent ne fait pas le bonheur.Mal est attachant , c'est un être surdimensionné qui sait déstabiliser Anne en un regard et avec ses paroles.L'alchimie est toute suite passé entre eux, tellement qu'Evie va devoir les séparer avant que Mal n'aille trop loin avec Anne. Mal a une réputation d'homme à femme et Evie ne veut pas qu'il s'amuse avec Anne.Mal parti dans un délire avec Ben va faire un pari plutôt fou.
David et Evie se font du soucis pour Mal. Il cache quelque chose, il veut se protéger.Mal est imprévisible, sur de lui. Il va s'imposer dans la vie d'Anne. Et ça va les arranger tous les deux. Ils ont besoin l'un de l'autre pour des raisons différentes. Mal prend son rôle très au sérieux. Il joue tellement bien son rôle qu'Anne ne sait pas si il joue ou s'il le pense vraiment.Il est quelqu'un de chaud bouillant, on ne s'ennuie pas une seule seconde avec lui quand il fait quelque chose il ne le fait pas à moitié. Et c'est bien ça le problème, à vouloir aller trop vite ils vont se brûler les ailes.
Vous allez adorer Mal, il va vous faire rire, beaucoup rire même, même s'il a une grande gueule il n'oublie pas Anne et il fait attention à elle.Grâce à Mal, Anne va retrouver le sourire et oublier ses soucis et un peu trop s'attacher à lui. Il va très vite être très protecteur avec elle, et ça ne va pas lui déplaire.Il donne l'impression de se foutre de tout, d'être insouciant mais il fait attention aux personnes qu'il apprécie.
On retrouve David et Evie. Il est toujours autant romantique.
J'ai complètement adoré Mal. Il veut faire le dur, monsieur je suis meilleur que tout le monde. On peut le détester au début mais il fait tellement rire, il est attentionné, plein de surprise, il sort des vannes pour détendre l'atmosphère, c'est le rigolo de la troupe. Il n'en demeure pas moins quelqu'un de sensible, il m'a beaucoup touché par rapport à son secret. Une fin qui m'a ému et j'ai hâte de les retrouver. On s'attache vite à ce petit groupe.
Cette voix m’était familière. Mais qu’est-ce qu’il foutait chez moi ? Stupéfaite, je clignai des yeux et découvris le magnifique visage que je connaissais.
— Mal, c’est toi ?
— Bien sûr que c’est moi, répondit-il en éclatant de rire. Tu as pris de la drogue ou quoi ? Tu ne devrais pas, c’est mauvais pour la santé.
— Je ne me drogue pas.
Quoique, cela aurait pu expliquer ce que j’avais sous les yeux. Parce que c’était surréaliste.
— Tu es là, constatai-je.
Ça ne faisait aucun doute. Il était bel et bien là. Preuve en était son corps moite à moitié nu, juste là, sous mes mains. Mes hormones m’interdirent de les retirer. Comment leur en vouloir ?
— Ouais, fit-il. C’est cool, non ?
— Oui. Euh...
Il hocha la tête.
Merde alors, comment avait-il réussi à entrer ? J’avais pourtant fermé à clé en partant.
— Bonne journée ? demanda-t-il.
— Ça va, merci.
— Ça fait des plombes que je t’attends, dit-il en m’adressant un sourire.
— Oui, j’ai dû faire la fermeture et des clients sont arrivés à la dernière minute. Mais, Mal… qu’est-ce que tu fous chez moi torse nu ?
— J’ai pris un coup de chaud en déplaçant des trucs (Il fit bouger son cou pour détendre ses muscles.) T’as beau habiter qu’au deuxième étage, ça fait quand même pas mal de marches à grimper. Nate et Lauren m’ont filé un coup de main mais après ils ont dû partir. Bref, on s’en tape. Y a un dress code, donc ?
Je demeurai immobile. Les mots continuaient à sortir de sa bouche sans qu’ils aient le moindre sens. Rien de tout ça n’en avait.
Son regard s’arrêta sur moi.
— Attends, je suis torse nu et t’as même pas ton regard de psychopathe. Qu’est-ce qui t’arrive ?
— J’imagine que je suis trop surprise de te trouver là.
Ses sourcils se baissèrent, tout comme les coins de ses superbes lèvres. Il « paraissait sincèrement peiné.
— J’ai attendu ça toute la journée.
— Désolée.
— Pas grave. Allez, viens voir.
Il m’attira à l’intérieur de l’appartement après avoir claqué la porte derrière moi, sans formuler le moindre début d’explication à sa présence chez moi. Mes mains se mirent à pleurer en silence lorsqu’il les ôta de son corps. Ça, ou je transpirais trop. La seconde hypothèse était plus vraisemblable. Il avait sur moi un effet très bizarre.
— Tadaaa ! chantonna-t-il, tendant le bras en un geste qui désignait mon petit salon.
— Ouah.
— C’est top, non ?
— Ah oui ?
— Oui ! Je savais que tu allais adorer !
Je continuai d’observer la scène. Je frottai mes yeux, qui commençaient à me brûler – sûrement à cause de tous les objets qui envahissaient la pièce.
C’était quoi, ce bordel ?