PRESENTATION DE L'AUTEUR :
John Steinbeck est un écrivain américain. Il travaille brièvement au New York Américain. Son premier roman La Coupe d'or, un fiction historique écrite en 1929 n'aura pas de succès. En 1936, il publie Des souris et des hommes et En un combat douteux. Trois ans plus tard, paraît, ce qu'il considère comme sa meilleure oeuvre, Les raisins de la colère. En 1940, lorsque son roman est adapté au cinéma, il reçoit le prix Pullitzer. Dans ses romans, Steinbeck met souvent en scène des personnages issus de la classe ouvrière confrontés à la Grande Dépression en Californie. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1962 et la médaille de la Liberté des Etats-Unis en 1964.
Editeur du livre : Gallimard.
Edition du livre : Gallimard.
Date d'édition du livre : 1939.
Nombre de pages : 175.
QUATRIEME DE COUVERTURE :
"Lennie serra les doigts, se cramponna aux cheveux.
-Lâche-moi, cria-t-elle. Mais, lâche-moi donc.
Lennie était affolé. Son visage se contractait. Elle se mit à hurler et, de l'autre main, il lui couvrit la bouche et le nez.
-Non, j'vous en prie, supplia-t-il. Oh ! j'vous en prie, ne faîtes pas ça. George se fâcherait.
Elle se débattait vigoureusement sous ses mains...
-Oh ! je vous en prie, ne faîtes pas ça, supplia-t-il. George va dire que j'ai encore fait quelque chose de mal. Il m'laissera pas soigner les lapins.
Pour le premier chapitre, j'avais l'impression de lire un roman d'Emile Zola à cause des longues descriptions des lieux. Sauf que là, les descriptions sont ennuyeuses.
J'ai trouvé George très "cruel" avec Lennie dans sa façon de lui parler : il ne lui a pas dit une seule chose gentille. En fait, en y pensant, je n'ai même pas eu une once de pitié pour Lennie, je l'ai trouvé trop bête pour que ce soit vrai.
Ensuite, j'ai eu du mal avec le livre : j'ai bien aimé la narration (la façon dont elle est écrite sauf les descriptions trop ennuyeuses) mais en parallèle, j'ai détesté les dialogues, le vocabulaire est trop "campagnard" pour moi (je n'ai pas trouvé d'autres mot pour qualifier mon ressentie).
Finalement, j'avais hâte de lire cette histoire qui m'a énormément déçu.