La vérité et
autres mensonges de Sasha Arango.
Ce roman est un polar mais n’en est pas vraiment un. Il y a bien des meurtres mais on sait qui les commet. Parfois, ça n’empêche pas d’avoir entre les mains un polar réussi mais je ne vais pas dire que c’est le cas ici parce qu’il n’y pas de suspense. L’ensemble se laisse écouter, j’ai plutôt aimé l’obsession de l’auteur pour la martre qui m’a rappelé les seules scènes des Petits Mouchoirs ( film que je n’aime pas du tout à part ça ) qui m’ont fait rire, celle de François Cluzet obsédé par l’animal qu’il n’arrive pas à attraper. Là, ce n’est pas drôle mais le symbolisme autour de cette obsession reste intéressant. J’aime plutôt les polars qui sont le reflet d’un pays ou de la société, ce n’est pas le cas de celui-ci qui pourrait se passer n’importe où. Le lecteur, Olivier Cuvellier, fait ce qu’il peut mais il ne peut pas y faire grand-chose.
Date de parution :18 Mars 2015Durée : 8h31 Lauréat du Prix du Polar européen du Point.
by Valérie
image captée sur le site d'Audiolib
Henry est un auteur à succès qui vit heureux entre sa femme et sa maîtresse qui travaille dans la maison d’édition qui le publie. Son succès est basé sur un mensonge, il n’est pas l’auteur de ses livres mais ce n’est qu’un détail parce que celle qui écrit ses romans n’a pas besoin de reconnaissance pour vivre. Un gros grain de sable vient se glisser dans les rouages de sa vie quand sa maîtresse lui annonce qu’elle est enceinte.Ce roman est un polar mais n’en est pas vraiment un. Il y a bien des meurtres mais on sait qui les commet. Parfois, ça n’empêche pas d’avoir entre les mains un polar réussi mais je ne vais pas dire que c’est le cas ici parce qu’il n’y pas de suspense. L’ensemble se laisse écouter, j’ai plutôt aimé l’obsession de l’auteur pour la martre qui m’a rappelé les seules scènes des Petits Mouchoirs ( film que je n’aime pas du tout à part ça ) qui m’ont fait rire, celle de François Cluzet obsédé par l’animal qu’il n’arrive pas à attraper. Là, ce n’est pas drôle mais le symbolisme autour de cette obsession reste intéressant. J’aime plutôt les polars qui sont le reflet d’un pays ou de la société, ce n’est pas le cas de celui-ci qui pourrait se passer n’importe où. Le lecteur, Olivier Cuvellier, fait ce qu’il peut mais il ne peut pas y faire grand-chose.
Date de parution :18 Mars 2015Durée : 8h31 Lauréat du Prix du Polar européen du Point.
by Valérie