Galland Eric 172 pages
Éditions de la Reine (2015)
« Gouliémo saisit le sifflet à sa ceinture et y souffla. Une onde inaudible se tout le Royaume et les Pazzi quittérent le théâtre en rythme. Une neige de pétales dorés virevolta en jaillissant des Trônes vers le sol et vers le Dôme. Le bourdonnement de la salle s'intensifia. il devint grondement formidable qui fit trembler les murs, puis s'épanouit en une explosion sonore, rires et cris mélangés aux crissement, chuintements, soufflements et pulsations erratiques de la marée des décoracteurs, qui affluaient vers la salle du trône pour l'inonder d'une vague joyeuse et festive.
Avis de Mélissa :
Lucia est une princesse d’un monde particulier. Elle l’a dessiné en entier, pièce par pièce, selon les bons vouloirs de son promis, Gouliémo. Ensemble, ils attendent le retour du roi et de la reine, partis combattre un ennemi dangereux. Tout est utopique, c’est un monde complètement innovant, créé avec des couleurs fortes, et défiant toutes les lois de la nature. Jusqu’au jour ou Lucia se rend compte qu’il existe un autre monde. Et le sien implose alors sous la nouveauté.J’avoue avoir été complètement perdue dans ce livre. J’ai au départ cru qu’il s’agissait d’un joli petit conte, dans un monde beau et simple. Comme dans tous les contes. Mais j’ai vite déchanté. Je pense qu’il doit y avoir là-dessous une petite leçon ou une morale à en retirer. Mais si c’est le cas, je ne l’ai pas comprise. Bien que les petits personnages soient gentillets, ils sont aussi assommant par leurs radotages sans fin, un peu comme si l’auteur avait voulu broder les dialogues pour compléter un certain nombre de pages. Les Pazzi, courtisans, en particulier m’ont littéralement engloutis sous leurs verbiages incessants.Les décors sont grandioses, et la table à dessin de Lucia est superbe, je l’ai beaucoup aimée. Et puis, il y a quelques petits mystères qui viennent mettre un peu de piment. Mais, hélas, ils ne sont pas vraiment élucidés. On a un doute, on cherche, mais le livre se termine avant qu’on ait pu comprendre vraiment.Bien sûr, il s’agit d’une première partie. Alors peut-être que la suite donnera plus d’indices sur ce qu’était ce monde. En effet, à la fin, on comprend que Lucia s’est sauvée dans le monde qu’elle avait découvert. Je pense donc que l’horizon ne pourrait que s’agrandir. Il n’empêche que ce premier tome ne m’a pas donné envie de découvrir la suite, malheureusement.
★★★☆☆
Éditions de la Reine (2015)
« Tout ce que la Princesse Lucia Deïssinait, sur ordre de l’Intendant devenait réalité : de salles en couloirs, de corridors en colonnades, ils étendaient le Royaume pour le bonheur de tous. Mais d’étranges dysfonctionnements des sujets et des choses semèrent le trouble dans cette création bien rangée, jusqu’à faire apparaître une nouvelle couleur, séduisante et dangereuse...»Extrait :
La couleur du miroir est la première partie du roman Lucia et le Royaume perdu. Éric et Armand ont écrit ce conte initiatique en hommage à la création artistique et au passage de l’adolescence.
« Gouliémo saisit le sifflet à sa ceinture et y souffla. Une onde inaudible se tout le Royaume et les Pazzi quittérent le théâtre en rythme. Une neige de pétales dorés virevolta en jaillissant des Trônes vers le sol et vers le Dôme. Le bourdonnement de la salle s'intensifia. il devint grondement formidable qui fit trembler les murs, puis s'épanouit en une explosion sonore, rires et cris mélangés aux crissement, chuintements, soufflements et pulsations erratiques de la marée des décoracteurs, qui affluaient vers la salle du trône pour l'inonder d'une vague joyeuse et festive.
Avis de Mélissa :
Lucia est une princesse d’un monde particulier. Elle l’a dessiné en entier, pièce par pièce, selon les bons vouloirs de son promis, Gouliémo. Ensemble, ils attendent le retour du roi et de la reine, partis combattre un ennemi dangereux. Tout est utopique, c’est un monde complètement innovant, créé avec des couleurs fortes, et défiant toutes les lois de la nature. Jusqu’au jour ou Lucia se rend compte qu’il existe un autre monde. Et le sien implose alors sous la nouveauté.J’avoue avoir été complètement perdue dans ce livre. J’ai au départ cru qu’il s’agissait d’un joli petit conte, dans un monde beau et simple. Comme dans tous les contes. Mais j’ai vite déchanté. Je pense qu’il doit y avoir là-dessous une petite leçon ou une morale à en retirer. Mais si c’est le cas, je ne l’ai pas comprise. Bien que les petits personnages soient gentillets, ils sont aussi assommant par leurs radotages sans fin, un peu comme si l’auteur avait voulu broder les dialogues pour compléter un certain nombre de pages. Les Pazzi, courtisans, en particulier m’ont littéralement engloutis sous leurs verbiages incessants.Les décors sont grandioses, et la table à dessin de Lucia est superbe, je l’ai beaucoup aimée. Et puis, il y a quelques petits mystères qui viennent mettre un peu de piment. Mais, hélas, ils ne sont pas vraiment élucidés. On a un doute, on cherche, mais le livre se termine avant qu’on ait pu comprendre vraiment.Bien sûr, il s’agit d’une première partie. Alors peut-être que la suite donnera plus d’indices sur ce qu’était ce monde. En effet, à la fin, on comprend que Lucia s’est sauvée dans le monde qu’elle avait découvert. Je pense donc que l’horizon ne pourrait que s’agrandir. Il n’empêche que ce premier tome ne m’a pas donné envie de découvrir la suite, malheureusement.
★★★☆☆