Le chant du fleuve retrouve Aegir, Doom, Gaan et Sheylis sur le fleuve d’argent alors qu’ils veulent rejoindre Kesh-la-Grande. L’histoire de Terre-Dragon et de ses clans s’y dévoile lors des moments paisibles. Ces derniers comptent également l’enseignement que Gaan dispense à Sheylis. Mais le garçon à la peau d’ours et ses compagnons sont toujours suivis par Ishkar, le chef des Natfaaris accompagné du sorcier Chakor, et par Sahr’sa, le prêtre du crâne qui retient Naabin prisonnière, sur qui ils ont de l’avance. Cela, avant qu’une créature des marais ne les attaque et que la progression de tous ne soit bouleversée…
Erik L’Homme profite donc de la suite du Souffle des pierres pour transmettre des informations inédites sur le royaume dans lequel il a choisi de faire évoluer ses personnages. Celui-ci ne cesse de s’étoffer et d’émerveiller. Il est ainsi encore plus vivant, plus vibrant quand un serpent géant surgit des eaux et que le combat de chacun pour sa survie doit reprendre, tendu, intense, et que de nouveaux points de vue naissent. Car depuis le début de cette quête, l’auteur les alterne. Certains protagonistes sont d’ailleurs de plus en plus attachants grâce à cette technique qui propose au lecteur d’entrer dans l’esprit, la mémoire et la douleur de chacun. Finalement, l’aventure se poursuit parfaitement, comme elle a été attendue, jusqu’à une fin qui tient en haleine et qui promet beaucoup pour la suite.
Présentation de l’éditeur :
Pour Ægir-Peau-d’Ours et Sheylis, l’apprentie sorcière, le chemin vers la liberté est encore long. Pourchassés avec leur compagnons, ils doivent traverser les terrifiants marais qui les séparent de Kesh-la-Grande. Les pouvoirs de Gaan le sorcier leur permettront-ils d’échapper à ce piège mortel ?
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