Prince Captif, tome 2 : Le guerrier
Serie : Prince Captif
Genres : Homoromance
Editeur : Milady
Collection : Central Park
Publication: 29/ 05/ 2015
Edition: Broché
Pages : 416
Rating:
- Chroniqué par NINIE
Lu en partenariat avec
- Milady -
Il y a quelques jours, je vous parlais du premier opus de cette nouvelle série qui sera publiée le 29 mai 2015 aux éditions Milady, la chance est telle que nous aurons l'occasion d'avoir également le second opus le même jour. J'avais beaucoup aimé le premier tome, il manquait vraiment un chouia pour que ce soit un coup de coeur. Et maintenant je peux vous dire que j'ai adoré ce second tome encore plus que le précédent et qu'il mérite sa note de 6 étoiles puisque c'est un vrai coup de coeur.
Vous pouvez donc vous imaginer quand Aurélia nous a proposé de le lire dans le cadre du Ladies Club que je n'ai pas pu résister très longtemps avant de le lire. Maintenant la seule chose qui me tourmente c'est de savoir quand est-ce que la suite va arriver ? Car la fin est juste atroce et je veux découvrir ce qui va arriver à Damen et Laurent.
Comme je vous le disais donc, ce second tome est encore meilleur que le premier, aussi bien au niveau de l'intrigue que de l'action. Nous retrouvons Damen et Laurent alors qu'ils chevauchent avec la garde princière vers la frontière qui sépare Vère et Akielos, sur ordre du régent. Le voyage du prince et de sa cavalerie sera semé d'embûches toutes plus inimaginables que la précédente. L'action sera également au rendez-vous.
Damen et Laurent se rapproche enfin, ils se rapprochent juste, je n'ai pas dit qu'ils allaient se sauter dessus :P Toujours est-il que Laurent fait montre de moins d'hostilité envers Damen, et que celui-ci va aider Laurent dans son combat à la frontière afin d'obtenir sa libération en échange de sa coopération.
C'est bon, vous suivez toujours ?
Laurent est toujours aussi énigmatique, il se révèle un peu plus à Damen, mais sans pour autant dévoiler tout son jeu. J'ai d'ailleurs été vraiment surprise par sa logique et par les intrigues fomentées par son oncle qu'il a réussit à réduire à néant, grâce au soutien indéfectible de Damen et sa troupe.
Je n'ai toujours pas réussit à découvrir la réponse à la question que je me posais sur Laurent, Tahicha il va falloir que nous attendions le tome 3, pour découvrir la vérité, mais je suis presque sûre de ce que j'avance, j'en mettrais ma main à couper.
Même si on apprend effectivement que le régent a des penchants très spéciaux, mais je n'arrive pas à découvrir si ce penchant il l'a aussi assouvie avec son neveu quand il était enfant.
En ce qui concerne Damen, au cours de ce tome-ci, il montre beaucoup plus de servilité envers le prince, mais il lui démontre aussi qu'il est doté d'un corps très efficace lors d'un combat, qu'il est un excellent guerrier.
La plume de l'auteur est toujours aussi agréable à lire et l'histoire ne dénote pas avec le tome précédent, elle reste dans la même veine, on retrouve ce qui m'a tant plu précédemment, à savoir la capacité de mêler intrigues, actions, et tellement de choses qu'on ne peut qu'être subjugué par ce récit.
En conclusion, cette nouvelle série aura réussit brillamment à se faire une place de choix dans mes coups de coeur littéraires, et j'espère que le prochain roman tiendra tout autant ses promesses que ces deux romans.
Il sentit ses poings se serrer, entendit l’amertume dans sa propre voix.
— Parce qu’une intrigante choisirait toujours l’homme le plus faible. Plus il est faible, plus il sera facile à manipuler.
La stupéfaction envahit Damen, et il se retourna vers Laurent, qui le regardait sans malice. Le silence s’installa. Ce n’était pas… Ce n’était pas ce qu’il attendait de sa part. Tandis qu’il le dévisageait, ses paroles le traversèrent d’une manière inattendue. Il les sentit toucher quelque chose de dur et tranchant en lui, sentit que très doucement, ces mots faisaient bouger en lui ce qui y était cruellement, profondément enfoncé, et qu’il avait cru jusqu’à présent inébranlable. Il demanda :
— Qu’est-ce qui vous fait croire que Kastor est plus faible que moi ? Vous ne le connaissez pas.
— Mais je commence à te connaître, toi, dit Laurent.