En 2000, après l'immense succès de son premier roman de gare Et si c'était vrai, Marc Levy démissionne de son cabinet d'architecture et part habiter à Londres pour se consacrer exclusivement à l'écriture. L'ouvrage est traduit dans une quarantaine de langues, publié dans 32 pays et se vend à 5 millions d'exemplaires.
Editeur du livre : Robert Laffont.
Edition du livre : Pocket.
Date d'édition du livre : 2001.
Le destin bouleversant de deux êtres que rien ne peut séparer.
Adolescents, Susan et Philip représentent tout l'un pour l'autre. Avec l'optimisme de la jeunesse, ils se sont promis de s'aimer pour toujours.
Mais la vie les écarte l'un de l'autre. Partie au Honduras au sein d'une association humanitaire, Susan affronte la violence des ouragans, tandis que Philip réussit sa vie professionnelle à Manhattan. Ils ne savent de leurs vies réciproques que ce que disent les lettres qu'ils s'écrivent pendant des années.
Philip a promis à Susan qu'il serait toujours là pour elle. Il ne peut pas savoir que cette promesse va bouleverser sa vie, et que, pour l'honorer, il devra ouvrir son cœur à l'inconnu.
Comme tout livres de Marc Levy, je ne suis pas vraiment attiré par la quatrième de couverture. Mais, comme j'ai les livres dans ma PAL, il faut bien que je les lise.
J'ai trouvé ma lecture très ennuyeuse et donc très longue. Je n'ai pas compris l'histoire au terme de ma lecture : pourquoi Philip a une relation avec une autre femme alors qu'il y a Susan ? J'ai trouvé la narration trop présente, j'aurais préféré plus de dialogue, ne serait-ce qu'entre Mary et Philip.
Toutefois, j'ai bien aimé les deux pages avant le premier chapitre : c'est assez sympathique de commencer un livre comme cela.
Finalement, j'ai encore été déçue par cet auteur. Je pense qu'à chaque fois, j'attends trop de ces histoires. Pour le prochain, je vais commencer par me dire que je n'aimerais pas et que je n'y comprendrais rien ; le livre passera peut-être mieux.