Psychologiques puis physiques, les agressions du jeune garçon se font de plus en plus violentes... jusqu’au jour où la brimade de trop provoque une plainte de la famille de Shoko, ainsi que l’intervention du directeur de l’école. À cet instant, tout bascule pour Shoya : ses camarades, qui jusque-là ne manquaient pas eux non plus une occasion de tourmenter la jeune fille, vont se retourner contre lui et le désigner comme seul responsable...
En conclusion, un peu déçu et très en colère contre le personnage Shoya. Mais plus j’y réfléchis et plus je me dis, et j’espère ne pas me tromper, que c’est le message que souhaite faire passer l’auteur à ses lecteurs. Il veut nous faire comprendre l’injustice des choses et le comportant outrant ou complètement déplacer de certaines personnes. J’ai hâte de lire cette suite pour voir comment l’auteur va tourner tout cela.