Hier, Dimanche 7 Juin, dernier jour du Festival du Livre de Nice 2015 sur le thème des Leçons de vie. Comme annoncé je n'ai donc pu résister à partir à la rencontre de Jean Des Cars pour acquérir son livre Le Septre et le Sang et par la même occasion obtenir une petite dédicace.
Puis un petit tour du côté de Baptiste Beaulieu que je n'avais pas réussi à voir la veille, très réservé au premier abord. Après avoir découvert cet auteur avec son livre Alors vous ne serez plus jamais triste j'avais très envie d'en connaître davantage avec son livre Alors voilà et en plus une dédicace et un dessin (il a bien plus d'1 corde à son arc).
Des Urgences au rez-de-chaussée aux soins palliatifs du cinquième étage, voilà la vie d'un jeune interne, qui déteste commencer sa journée par une tentative de suicide. Une patiente en stade terminal s'impatiente : son fils est bloqué à Reykjavik à cause d'un volcan en éruption. Pour lui laisser le temps d'arriver, l'apprenti médecin se fait conteur.
Juste à côté se trouvait son dernier roman (entre autre) Valérie Tong Cuong qui présentait Pardonnable, Impardonnable
Un après-midi d'été, alors qu'il se promène à vélo sur une route de campagne, Milo, douze ans, chute et se blesse grièvement. Ses parents Céleste et Lino et sa grand-mère Jeanne se précipitent à son chevet. Très vite, chacun va chercher les raisons de l'accident. Ou plutôt le coupable. Qui était avec lui ce jour-là ? Pourquoi Milo n'était-il pas à sa table, en train de faire ses devoirs, comme prévu ?
Mais ce qui m'a vraiment attiré au Festival du Livre hier c'est une petite conférence intitulée 1 heure de conférence pendant laquelle il a beaucoup été question de religion et de fraternité autour de son ouvrage Conversation avec Marek Halter qui venait parler de son dernier ouvrage Aïcha - Les femmes de l'islam T3 à paraître en Juillet 2015. Réconciliez-vous.
Aïcha est le dernier volume d'une trilogie romanesque ambitieuse et plus que jamais d'actualité : le destin exemplaire des femmes qui ont accompagné la vie du Prophète.
Mariée très jeune au prophète Muhammad, Aïcha lui survivra plus de quarante ans. Elle en a presque soixante-cinq quand elle prend le calame pour raconter ses souvenirs. Écrits à la première personne, ses rouleaux de mémoire sont marqués par la rupture des temps paisibles, aussi bien dans Yatrib qu'au sein même de la maison du Prophète. L'existence radieuse de la jeune Aïcha bascule lentement vers la douleur et les conflits, dont nos sociétés paient encore le prix aujourd'hui.
Un petit dernier pour la route avant de rentrer sagement à la maison faire le bilan de ce week-end (et les comptes). Un auteur qui apparemment avait la pêche et soif de rencontre avec son public, qui n'a pas hésité à interpeller les passants pour leurs faire découvrir son livre.
Black Museum d'Alexandre Kauffmann
. A l'occasion d'un reportage sur les Hadza, dans le bush tanzanien, un journaliste parisien découvre l'envers du décor habituellement présenté aux touristes. Il décrit une véritable comédie destinée à alimenter les fantasmes des visiteurs autour des chasseurs cueilleurs de la savane africaine. Il montre que ces peuples chassent en effet, mais n'ignorent rien du monde occidental
Il m'a promis un bon moment de lecture... nous verrons ça !! :)
Je voudrais faire une petite parenthèse sur une BD: Modigliani. Une évocation frémissante et sensible du peintre Amedeo Modigliani, mort dans la misère au seuil de la gloire, à l'orée du XXe siècle. Dessinée par Fabrice Le Hénanff et aux textes signés Laurent Seksik (auteur niçois).
Un point encore concernant Le Prix Nice Baie des Anges qui a couronné Jérôme Garcin pour son roman Le voyant.
C'est la fin du Festival du Livre de Nice 2015
De belles rencontres, de bons moments et une chaleur écrasante
Un bilan positif en somme !!!
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