PRESENTATION DE L'AUTEUR :
Double lauréats du prix Edgar Allan Poe et ancien président des Mystery Writers of America, Gregory Macdonald a publié par moins de 30 romans (dont la fameuse série Fletch). Rafael, derniers jours a obtenu le Trophées 813 du meilleur roman étranger en 1997. La même année, son livre fût adapté au cinéma par Johnny Depp sous son titre original, The Brave.
Editeur du livre : Fleuve Noir.
Edition du livre : 10/18.
Date d'édition du livre : 1991.
Nombre de pages : 191.
QUATRIEME DE COUVERTURE :
Il est illettré, alcoolique, père de trois enfants, sans travail ni avenir. Il survit près d'une décharge publique, quelque part dans le sud-ouest des Etats-Unis. Mais l'Amérique ne l'a pas tout à fait oublié. Un inconnu, producteur de snuff movies, lui propose un marché : sa vie contre trente mille dollars. Il s'appelle Rafael, et il n'a plus que trois jours à vivre... Avec ce récit, Gregory Mcdonald n'a pas seulement sondé le coeur de la misère humain, il lui a aussi donné un visage et une dignité.
Voici un livre qu'une amie m'a prêté en me prévenant qu'il était dur à lire.
Tout d'abor, la quatrième de couverture ne m'a pas intrigué plus que cela, le titre du livre l'a plus été.
En commençant ma lecture, je ne m'attendais pas à tant de violence dans les propos dès les premières pages : Rafael, un garçon qui cherche du travail, se fait insulter de "poivrot" presque avant d'ouvrir la bouche. Après, mon amie m'a dit que ce serait un livre émouvant. Ouais. Bon. J'avoue ne pas être tout à fait de cet avis : l'histoire de Rafael, les conditions dans lesquelles sa famille et lui vivent, les conditions du nouveau travail qu'il aura sont assez dur mais avec l'écriture de Gregory McDonald, cela n'a pas été aussi dur à lire que je le pensais. En fait, je n'ai pas aimé la façon dont le livre est écrit : c'était plat, je n'ai pas ressentis l'étincelle que j'ai quand un livre m'émeut.
Finalement, c'est un petit livre qui présente la misère humaine mais qui ne m'a pas plu dans la façon dont il est écrit.