Titre : Osez... devenir une bête de sexe
Auteur : Stéphane Rose
Éditeur : La Musardine
Format : Poche
Nombre de pages : 128
Prix : 8.10 €
Résumé de l'éditeur :
Libérez enfin votre potentiel bestial ! Aux antipodes des traditionnels guides de drague, ce livre vous apprendra non pas à endosser le rôle du parfait séducteur, mais à établir les liens de confiance nécessaires à une sexualité libérée et décomplexée. Écrit spécialement pour vous messieurs, il s’adresse également aux femmes désireuses de comprendre ce qu’il se passe dans le cerveau des hommes en général et de leur amoureux en particulier. Grâce à de nombreux témoignages et conseils pratiques, il vous révélera comment réconcilier harmonieusement l’homme civilisé et la bête de sexe qu’il dissimule.
Première petite déception en recevant le livre, je pensais que c'était la Bande-Dessinée qui porte le même nom. En fait, c'est un livre de poche. Seconde déception, ce livre est, il me semble, destiné à un lecteur masculin. Je me suis sentie donc très peu concernée par l'ouvrage.
J'ai lu le premier chapitre et j'ai feuilleté le reste avec mon conjoint. Le livre est très bien construit et les témoignages ainsi que les tests donnent un plus au livre. Je pense qu'il peut donner quelques conseils aux hommes qui manquent de confiance en eux, sans pour autant en faire "une bible". Mon conjoint n'a pas trouvé les propos très réalistes et n'était pas forcément d'accord avec l'ensemble du texte.
Je m'attendais à quelque chose de plus léger et de plus marrant.
L'auteur parle de sexe sans tabou et parfois avec des mots crus. Un livre décidément bien masculin sur le vocabulaire et je n'ai pas toujours été d'accord avec sa vision de voir les femmes. Ce qui m'a le plus "choquée" est l'insulte "Salope", qui revient régulièrement, qu'il dénature, pour en faire un compliment.
Cependant je n'ai pas accroché et je me suis sentie un peu comme une "voyeuse" qui épierait une conversation entre hommes. Un peut déçue, mais c'est quand même une grande partie de ma faute. J'aurais dû faire plus attention quand j'ai postulé à la "Masse Critique" sur Babelio.