Les Passereaux, mai 1958. Jean est un jeune paysan qui aime inventer des histoires, rêve de devenir instituteur et de s'installer à la ville. Il espère un ailleurs, mais on ne choisit pas sa vie, aux Passereaux, et tout semble vouloir s'acharner contre ses rêves : le père de Jeannot qui lui refuse de quitter la ferme, la famille d'Odette qui s'oppose à ce que Jeannot l'épouse, la guerre d'Algérie, qui ne le rendra pas indemne. Acculé, Jean se ferme au monde au point de glisser dans la folie.
Roman du tourment, inspiré d'une histoire vraie, Nous tous sommes innocents raconte l'histoire déchirante d'un homme cerné par le tragique et, dans son regard, le destin d'une famille qui porte en elle le ferment de sa propre malédiction. Sommes-nous tous innocents ? Comment, jusqu'à son dernier souffle, un homme peut-il essayer de faire sortir ce cri qu'il porte en lui ?
Ce livre est tiré d'une histoire réelle.
Je dois avouer que j'ai eu du mal à me plonger entièrement dans l'histoire, mais je saurais expliquer le pourquoi.
C'est un parcours de vie très prenant à lire, il fallait que je continue ma lecture, et pourtant j'avais du mal. Peut être est-ce du à mes soucis persos, je le relirai plus tard et je serai peut être plus réceptive.
Néanmoins, l'auteur nous signe ici un bon livre, surtout pour un premier, nous n'avons pas de temps morts, pas le temps de nous ennuyer. J'en arrivais par moment à me prendre d'affection pour Jeannot, il n'a pas eu une vie simple et cela se ressent très fort. Sa soeur Paule, elle non plus n'a pas eu un parcours évident.
Je vais patienter un peu et me replonger dans le livre et voir si je m'imprègne plus, parce que ce livre en vaut vraiment la peine.
Merci Aux Forges de Vulcain pour ce service presse.