Le rire du Cyclope.

PRESENTATION DE L'AUTEUR :

Dès l'âge de 16 ans, Bernard Werber écrit des nouvelles, des scénarios, des pièces de théâtres. Après des études de criminologie et de journalisme, il devient journaliste scientifique. A 30 ans, il rencontre un énorme succès avec son premier roman Les Fourmis. Bernard Werber propose un nouveau genre littéraire qu'il nomme "philosophie fiction", mélange de science-fiction, de philosophie et de spiritualité. A travers différents regards exotiques, extérieurs, celui des animaux, mais aussi des arbres, des divinités antiques ou de potentiels extraterrestres, il tente de comprendre la place de l'homme dans l'univers.

Le rire du Cyclope.

Editeur du livre : Albin Michel.

Edition du livre : Le livre de Poche.

Date d'édition du livre : 2010.

Nombre de pages : 762.

QUATRIEME DE COUVERTURE :

Un coffret renferme l'arme absolue. La plus inattendue, la plus imparable. Le célèbre comique, le Cyclope, est mort d'avoir voulu le posséder. On ne l'ouvre qu'à ses risques et périls...

Après Le Père de nos pères et L'Ultime Secret, une nouvelle enquête de Lucrèce et Isidore au cœur d'un des plus grands mystères humains : le rire.

Le rire du Cyclope est une enquête de Lucrèce et Isidore, un ancien journaliste scientifique et une journaliste actuelle, sur la mort de Darius Wozniak, dit "Le Cyclope", qui s'avère très étrange. Au cours de leur enquête, ils vont devoir prendre conscience de lourds secrets, ceux entourant le Cyclope mais également ceux entourant la GLH ; et entrer dans la grande sphère de l'Humour.

Tout d'abord, j'ai été amusée par le premier chapitre du livre : une seule et unique question. Ce premier chapitre est le fil d'Ariane de ce roman.

La lecture est rapide et fluide dû aux chapitres qui sont courts voire très courts. Pour l'histoire, au début, je la trouvais inutile. Mais au fil des pages, je n'ai pas pu me détacher du fond : j'ai tellement eu envie de connaître le dernier mot de cette histoire très envoûtante.

Néanmoins, j'ai moins aimé la longueur de certains dialogues qui sont des dialogues d'explications de l'affaire en cours. Et, de plus, dans un des sketch du Cyclope, il y a une phrase en "japonais". Le problème, c'est qu'elle ne veut strictement rien dire et donc la traduction ne servait à rien. Je sais, c'est futile mais en tant qu'étudiante en japonais, je ne pouvais pas passer dessus sans rien dire.

J'ai, en plus, une petite déception : celle de ne pas savoir ce qu'était la BQT. Malgré cette pointe de déception, c'est un roman très bien écrit avec des sketch de Darius Wozniak de temps en temps ; une héroïne qui a un prénom originale et que j'adore, En plus, c'est la première fois qu'un roman me fait rire.

J'ai également un passage qui au moment de ma lecture m'a fait rire :

-Attends, ne fais pas ça !

Elle s'était figée, en écoutant la suite :