Des batailles, des morts, mais aucune torture, ni monstruosité. Negan fait un peu moins le fier, même s’il riposte durement. C’est incroyable tout de même, alors que le monde n’est plus qu’un immense champ de zombies, deux petits groupes de survivants se livrent une guerre sans merci sur un petit territoire. Je comprends bien sûr l’enjeu, laisser un monstre comme ce Negan diriger les choses est totalement inacceptable. Sa présence, tout comme celle de feu le Gouverneur, prouve une fois de plus qu’en période de malheur, ce sont les représentants les plus malsains de l’humanité qui fleurissent et s’épanouissent comme une odeur toxique.
KIRKMAN R. & ADLARD C., Walking dead 20, Sur le sentier de la guerre, Delcourt, 2014