Bonjour et bon 14 juillet !
Nous avons pu rencontrer Cindy Van Wilder, l’auteur(e) des Outrepasseurs, au salon du livre du festival Etonnants Voyageurs. Nous la remercions d’avoir accepté de répondre à nos questions !
Cindy Van Wilder est née en 1983, en Belgique. Elle est traductrice et écrivain. Les Héritiers, le premier tome des Outrepasseurs, est son premier roman édité aux éditions Gulf Stream.
1) D’où vous sont venues vos idées pour écrire la saga des Outrepasseurs ? Avez-vous été influencée par des romans fantastiques ou historiques concernant la période du Moyen-Age ?
J’ai été influencée par beaucoup de livres. D’abord par le roman de Renart qui a été une inspiration maîtresse pour les noms et les personnalités des personnages et ensuite ce sont toutes mes lectures qui ont formé mon imagination : Zola, Fred Vargas, Leonora Miano, Charlotte Bousquet, Carina Rozenfeld.
Ce projet des Outrepasseurs a longtemps mûri, le premier jet a été très rapide et je l’ai ensuite retravaillé avec l’aide du collectif CoCyclics.
2) Vous avez été l’une des auteurs du site communautaire CoCyclics, jusqu’où ce site vous a-t-il aidée dans l’écriture du premier Outrepasseurs ? Quel est le processus d’accompagnement de l’auteur ?
Il y a plusieurs processus d’accompagnement de l’auteur. En fonction du genre du texte, si c’est un roman ou une nouvelle, il y a des groupes et des espaces de travail différents. Oui, ça m’a énormément aidée.
3) Etant passée du numérique au livre papier, quel avis avez-vous sur ces deux formats ? Croyez-vous en ce développement -très rapide- du numérique ?
Je lis beaucoup de livres numériques et je crois vraiment aux deux.
4) Avez-vous une routine particulière pour écrire ?
Aucune. Je travaille à plein temps comme traductrice et j’écris quand c’est possible, quand j’ai du temps libre.
5) Certains romans vous ont-ils influencée dans la construction de vos personnages ?
Oui, il y a, par exemple, la saga du Trône de Fer ou encore Zola qui m’ont influencée parce qu’il n’y a jamais de manichéisme (les personnages ne sont ni tout blanc ni tout noir) et que c’est ce que je recherche dans mes romans.