Felicity Stuart & Emma M. Green / Love me if you can

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Love me if you can

Photo Auteur : Felicity Stuart & Emma M. Green
Serie :
Genres : Romance Erotique
Editeur : Editions Addictives
Collection :  Adult Romance
Publication: 25/ 06/ 2015
Edition: Broché
Pages : 501
Prix : 14,90€
Rating:
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Résumé :

Que feriez-vous si un milliardaire à moto surgissait dans votre vie pour la changer à tout jamais ? Damon Lennox, milliardaire, tatoué et tellement mystérieux, débarque dans la vie rêvée d'Adèle et jette son dévolu sur elle. La Française pensait avoir déjà touché le jackpot : un nouveau départ à San Francisco, un fiancé brillant et fortuné, un restaurant français qui fait le plein chaque soir, des employés quelle considère comme la famille quelle na pas Mais l'attraction entre Damon et Adèle est trop forte et le danger trop grand. La jeune femme va-t-elle tout risquer ? Que cache le milliardaire tatoué ? Qu'est-il vraiment venu chercher ? Si la vengeance est un plat qui se mange froid, la passion, elle, se dévore tant quelle est brûlante. Felicity Stuart donne la parole à ses deux héros dans un écho troublant, gourmand, palpitant. Ce livre comporte des scènes au contenu explicite non adapté au jeune public. Photo

Avis de Ninie :

Tout d'abord je tiens à remercier Maud et les Editions Addictives pour m'avoir offert l'opportunité de lire ce livre en m'accordant leur confiance dans le cadre de ce partenariat.
C'est une nouvelle histoire que je viens de découvrir, j'avais déjà eu l'occasion, de découvrir quelques uns de leurs millionnaires dans d'autres aventures, là c'est un richissime motard tatoué qui est représenté dans ce roman. En général, ils sont toujours propret, en costard cravate, un peu le gendre idéal. Là c'est tout autre car Damon Lennox est un motard tatoué, barbu et sexy.
Et là mon cerveau fourmille car j'ai un petit faible pour les barbus et j'imagine à quoi pourrait ressembler Damon, et puis je craque pour ce que mon imagination à pu trouver. Pour le personnage masculin principale, j'adhère à 100%.
Felicity Stuart & Emma M. Green / Love me if you canFelicity Stuart & Emma M. Green / Love me if you canFelicity Stuart & Emma M. Green / Love me if you can L'intrigue de l'histoire était pas mal du tout, mais ça manquait quelque peu d'actions, je m'attendais à un revirement de situation, à quelque chose d'autres, là après les révélations c'était limite prévisible.
L'histoire était en fait principalement basée sur le couple Damon /Adèle, sur leur rencontre, sur la naissance de leur couple (malgré le fait qu'Adèle soit déjà en couple) mais franchement Melville Cooper, yeurk rien que son nom fait pas envie.
Mais passons un peu à l'histoire décrite dans ce roman, nous découvrons Adèle, une jeune française qui a suivi son fiancé Melville Cooper à 9000 km de chez elle pour un nouveau départ à San Francisco. Dès le début, Melville est une enflure, il traite Adèle de la pire des façons, en la snobant quand elle a besoin de lui, en la traitant de moins que rien qui ne serait arrivé à rien sans lui.. 
Adèle est loin d'être épanouie, elle est prête à se marier avec son fiancé qui la délaisse, mais n'est pas insensible au charme du motard sexy qui vient dîner tous les jours à la table d'"A la folie"  le restaurant qu'elle gère avec une équipe du tonnerre.
Les personnages secondaires de Violette (la pâtissière) et Blake (le cousin de Damon) sont très intéressants, j'ai pris pas mal de plaisir à découvrir leurs prises de bec constantes et j'ai trouvé qu'il faudrait un livre spécialement qui leur soit dédié, je le lirais sans hésiter dans ce cas là, tellement ils se cherchent. Bon mon voeu est exaucé puis que j'ai vu que c'était déjà le cas avec la série "Kiss me if you can".
En conclusion, j'ai aimé découvrir cette nouvelle série que je ne connaissais pas (il faut que je me remette à jour), mais il me manquait un peu plus d'actions pour mériter un coup de coeur.
  • Chroniqué par NINIE

Extrait :

Plus idéalisé, tu meurs ! Ça, c’est la soirée telle que je l’aurais rêvée… Je publie mon nouveau billet de blog en repensant à la réalité. Les clients ont commencé à se plaindre du vent vers vingt-deux heures et j’en ai entendu plus d’un demander pourquoi on ne pouvait pas rentrer à l’intérieur – parce que ce n’était pas prévu, parce qu’un banquet, c’est dehors, et parce que rien n’était prêt dedans ! June a dû soupirer et lever les yeux au ciel au moins cent fois en l’espace de quatre heures, marmonnant sans cesse « Ruben va me le payer ». Dans la salle de repos, Bernadette s’est fait les dents sur le pied de la table basse en bois, que j’ai retrouvé déchiqueté, puis a dû s’écrouler sur le canapé qui lui est strictement interdit, vu les millions de poils qui y sont maintenant incrustés. Je ne compte pas les verrines et les coupes de champagne qui se sont fracassées sur le sol de la terrasse sans que personne ne prenne la peine de ramasser les bouts de verre. Saul a frôlé la crise de nerfs en cuisine et a renvoyé Billy à trois reprises – j’ai dû le supplier trois fois de rester en lui promettant de l’augmenter. Violette a disparu avec un grand blond, que j’avais pourtant vu arriver accompagné. Et Melville a débarqué au plus mauvais moment : il n’a pas arrêté de me demander en riant si ce « chaos » était normal et si c’était ça, que j’appelais un « banquet à la Française ». Sauf que c’était un moment où, moi, je n’avais pas du tout envie de rigoler. Ni envie qu’il soit là, en fait.