Septembre 1687. Peu de temps après le meurtre d’une jeune fille dans les jardins du château de Versailles, voilà qu’on informe Louis XIV qu’un hurlement de loup s’est fait entendre dans le labyrinthe. Que se passe-t-il cette fois-ci dans ses bosquets ? Pour le savoir, il fait de nouveau appel à Mourlhame Kapell, le fils de son premier valet de chambre, Alexandre Bontemps, qui continue de dissimuler sa vraie identité tant qu’il est dans sa peau d’enquêteur. Le jeune homme est de nouveau accompagnée d’Adélie de Lazenay pour résoudre cette affaire. Ensemble, ils se rendent là où le loup se serait manifesté, suivent les pistes laissées au sol, pénètrent dans les coulisses des fontaines et y trouvent de nouveau un corps…
Le crime de l’Encelade n’était que le début des enquêtes de Mourlhame Kapell et Adélie. Le début de leur tendre relation aussi. Dans Le sang du labyrinthe, les voici de nouveau confrontés à une sombre affaire qui ne doit surtout pas s’ébruiter. Une affaire qui prend sa source dans la chasse aux loups dont était alors particulièrement friand le Grand Dauphin, qui met donc avant la protection des animaux, qui signale certaines lubies de riches personnes, qui évoque la mythologie et certaines croyances. Les personnages sont parfaitement campés et définitivement charmants. Ils sont déterminés, courageux, têtus… C’est une deuxième mission précise, instructive et captivante qu’Annie Pietri propose à ses lecteurs qui, grâce à elle, découvrent toujours un peu plus du Versailles du Roi Soleil. Ici, la face est assez inquiétante mais parce qu’elle très attirante comme ça aussi…
Présentation de l’éditeur :
Versailles, septembre 1687. On rapporte à Louis XIV que des bruits de lutte et un hurlement de loup ont été entendus dans le bosquet du Labyrinthe. D’abord incrédule, le roi se ravise et ordonne une enquête qu’il confie à Mourlhame Kapell et Adélie. Cette nouvelle mission va les mener dans les entrailles du parc du château, là ou serpentent des galeries souterraines. Une macabre découverte les y attend…