Auteur :Io SakisakaTraducteur : Misato Ralliard
Genre : Manga-shojoEdition :Kana
Année d'édition : 2013Pages : 201Synopsis :
Futaba prend conscience qu'elle est amoureuse de Kô qui a seize ans, et non du garçon qu'il était dans le passé. Dans le même temps, elle apprend que son amie, Yûri, est également amoureuse de lui...Mon avis :
J'apprécie de plus en plus cette saga. Alors que le tome 1, m'avait plu, mais sans plus, le tome 2 devenait donc décisif, et à la fin de ce dernier, j'étais contente de posséder également le tome 3. Que je pensais faire durer un peu plus longtemps. À la fin du tome précédent, l'auteure, nous laisse entrevoir, une amorce de triangle amoureux. Rien d'étonnant me direz-vous, avec un manga-Shojo. Oui, mais, si celui-ci, est effectivement abordé, il est également mené, de main de maître. Puisque Io Sakisaka, nous donne une belle leçon d'amitié. Et là, je dis chapeau. Je m'attendais à quelques longueurs, et j'ai été bien eu.Bon pour être tout à fait honnête, j'en ai eu, toujours avec Futaba, pendant des pages, et des pages, elle se demande, si elle doit révéler à Yûri son amour pour Kô, ou la laisser dans l’ignorance. Puis, elle remet ça, avec "il faut que je parle à Yûri". La mangaka, a beau avoir fait mûrir, son personnage depuis le premier, tome, il lui reste encore ce côté, j'y vais, je n'y vais pas.Une qui m'a clouée, c'est Murao, qui s'ouvre enfin ! Kô lui reste le même. Mais l'impact du second tome, est là, et Futaba, semble avoir réussi son pari, de faire d'elle et ses amis, un groupe.Tout comme pour le précédent volume, la fin nous laisse, sur des questionnements. J'espère que ça ne va pas finir en vrille, et que tout ce que j'apprécie dans ce tome-ci, ne sera pas remis en question !En Bref : un manga qui devient de plus en plus plaisant. La qualité des dessins est toujours là. J'aime également beaucoup les petits apartés, (ils m'ont semblé, plus nombreux), où la mangaka, se livre. 2 petits bonus, dans ce tome également, les fiches des personnages, et à la fin, une histoire courte.En image :