Phrases poétiques ou vers - Séance du 15/10/2013
La dame
Le corps étendu, l’âme assoupieJe crus rêver en l’apercevant une nuit ;Un fantôme flottait, malheureuxMe fixant de ses tristes yeux.
Sa longue chevelure noireSon immense regard de moireSa peau d’un blanc étincelantEt ses lèvres d’un rubis éclatant.
J’étais étrangement fascinéePar cette venimeuse beauté ;Le spectre était secoué de sanglotsMais je n’osai pas lui dire un mot.
Une sublime robe de sangHabillait son corps de satin brillant Et à sa belle gorge était attachéUn collier orné d’étoiles argentées.
Doucement, je saisis sa main tremblanteTentai d’arracher sa peine latenteMais son corps était impénétrablePerdu en des profondeurs ineffables.
Le cadavre m’implora de le suivreQue seule, elle ne pouvait survivrePour elle, j’acceptai de mourirEt pour la première fois, je vis son sourire.
La dame
Le corps étendu, l’âme assoupieJe crus rêver en l’apercevant une nuit ;Un fantôme flottait, malheureuxMe fixant de ses tristes yeux.
Sa longue chevelure noireSon immense regard de moireSa peau d’un blanc étincelantEt ses lèvres d’un rubis éclatant.
J’étais étrangement fascinéePar cette venimeuse beauté ;Le spectre était secoué de sanglotsMais je n’osai pas lui dire un mot.
Une sublime robe de sangHabillait son corps de satin brillant Et à sa belle gorge était attachéUn collier orné d’étoiles argentées.
Doucement, je saisis sa main tremblanteTentai d’arracher sa peine latenteMais son corps était impénétrablePerdu en des profondeurs ineffables.
Le cadavre m’implora de le suivreQue seule, elle ne pouvait survivrePour elle, j’acceptai de mourirEt pour la première fois, je vis son sourire.