Chronique : 48 heures pour mourir - Andreas Gruber (l'Archipel)

Par Frédéric Fontès 4decouv @Fredo_Fontes

Andreas Gruber invite son lecteur, dans 48 heures pour mourir, à découvrir une héroïne attachante malgré une intrigue assez classique qui n'est pas forcément d'une folle originalité. À l'image des motivations du tueur qui peuvent paraitre fade mais la cadence infernale imposée par l'auteur rend difficile le fait de refermer son roman avant la fin.
On n'est pas forcement au rende-vous promis par Sebastian Fitzek du scénario ultra efficace mais c'est suffisamment captivant nous tenir en haleine jusqu'à la fin.
À la lecture de ce livre, il est difficile de ne pas penser à des classiques du genre qui ont déjà mis la barre très haute, tel que l'Analyste de John Katzenbach, Thérapie de Sebastian Fitzek ou le récent Am Stram Gram de M. J. Arlidge.
Frédéric Fontès, www.4decouv.com